Télégrammes : Apple Watch pense LTE, Scepticisme sur la voiture autonome, Polémique sexiste d’un ingénieur de Google

Après la fin de la canicule et le dernier tour de piste d’Usain Bolt, il est temps de lire les télégrammes du soir.

Apple Watch avec du LTE. la firme de Cupertino plancherait sur une montre connectée dotée d’un modem cellulaire 4G LTE. L’objectif est de réduire la dépendance de la montre à l’iPhone. L’Apple Watch nécessite en effet d’être connectée à un iPhone pour streamer du contenu audio, recevoir des notifications… la version cellulaire de la montre devrait arriver d’ici la fin de l’année croit savoir Bloomber. Apple aurait fait appel à Intel pour le modem et serait en pourparlers avec des opérateurs mobiles en Europe et outre-Atlantique. Un moyen de relancer le marché des wearables.

Les Français sceptiques sur la voiture autonome. Une étude menée par Opinion Way et VMware montre que 43% des Français seulement sont prêts à utiliser un véhicule autonome. Dans les freins pour son utilisation, on peut citer les problèmes de sécurité. Sous ce vocable, on entend plusieurs choses : le manque de contrôle sur le véhicule (46%), la peur d’avoir un accident (45%), l’absence de plaisir de conduire (41%) et la peur que le véhicule soit piraté (40%). Outre ses aspects négatifs, nos compatriotes trouvent des vertus à la voiture autonome. 29% des Français attendent d’abord de la voiture intelligente qu’elle planifie leur itinéraire. Et top du top, ils rêvent d’une voiture qui s’entretient automatiquement. Adieu garage !

Polémique sexiste d’un ingénieur de Google. La presse américaine s’est faite l’écho d’une note d’un ingénieur de Google où il explique que si les femmes sont peu présentes dans le milieu de la « tech », c’est en raison de différences « biologiques ». Des propos qui embarrassent Google, mais plus largement les sociétés de la Silicon Valley qui ont du mal avec la diversité au sein de leurs salariés. Les femmes sont sous-représentées et accèdent peu à des postes à responsabilité. On peut également ajouter les affaires de harcèlement sexuel dans certaines  sociétés tech. Google est monté au créneau pour indiquer que les propos de l’ingénieur n’engagent pas la société.