Dossier : banc d’essai exclusif des navigateurs web

La version définitive de Google Chrome 3.0 vient de faire son entrée. Nous profitons de cette occasion pour vérifier s’il est bien le plus rapide des navigateurs web, au travers d’une nouvelle édition de notre comparatif.

Sommaire 1 – Les quatre principaux navigateurs du marché

2 – Leurs parts de marché

3 – Respect des standards et mémoire

4 – Performances JavaScript

5 – Performances générales et conclusion

Parts de marché

Voici un état du marché, reprenant les dernières valeurs mesurées par des organismes de référence. Le premier tableau donne un état du marché mondial. Il mixe les données de Market Share, de StatCounter et du W3Counter. Internet Explorer continue de plonger, avec un score en baisse de plus de 3,3 %. Même constat pour Safari, pourtant installé par défaut sur les machines Apple. Tout ceci profite à Firefox, Chrome et – dans une moindre mesure – à Opera.

Le second tableau se concentre sur le marché européen, au travers d’une moyenne des évaluations de l’AT Internet Institue et de StatCounter. Ici, les parts de marché sont assez proches de celles relevées en juillet dernier. Nous notons toutefois un effritement de celles d’Internet Explorer et d’Opera, au profit de Safari, Chrome et Firefox.

Enfin, le dernier tableau reprend les chiffres de fréquentation du site W3Schools. Internet Explorer dégringole de 1,4 %. La plus forte hausse est Chrome, qui passe de 6 % à 7 % de parts de marché. Firefox (+0,1 %), Safari (+0,2 %) et Opera (inchangé) sauvent les meubles.

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