Un stockage conçu pour le Big Data

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Quelle infrastructure peut gérer les pétaoctets de données qu’implique le Big Data ? De toute évidence, la réponse ne peut pas être uniquement d’ordre matériel. C’est du côté du logiciel qu’il faut chercher une réponse concrète aux mégadonnées.

La quantité vertigineuse des données utilisées par le Big Data induit un changement de paradigme dans le stockage. Les volumes qui se mesurent en pétaoctet, l’hétérogénéité des formats, la croissance exponentielle, l’obligation d’un fonctionnement linéaire et ininterrompu justifient l’utilisation de cette expression trop souvent galvaudée.

Quand l’unité de mesure de capacité n’est plus le téraoctet (To) mais le pétaoctet (Po), qu’il n’est plus question de milliers mais de millions d’applications et que le nombre d’utilisateurs ou de systèmes connectés se chiffre en milliards, on outrepasse les limites des concepts qui ont donné naissance aux NAS, aux SAN et à des technologies comme le RAID. Tous étant par trop reliés à la dimension matérielle du stockage, ce qui obère leur capacité d’évolution.

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Fidèle à sa philosophie de services aux utilisateurs, Fujitsu participe activement aux principaux consortiums Open Source qui dessinent l’IT des entreprises de demain. C’est dans le cadre de cette stratégie qu’a été fait le choix d’être en pointe dans l’utilisation de Ceph. Expression la plus aboutie du SDS (Software-Defined Storage), cette plateforme libre de stockage distribuée repose sur des notions simples : un stockage en mode objet auto-administré par des clusters de serveurs à architecture distribuée, entièrement redondants (parallélisation, réplication) et conçus pour évoluer jusqu’à l’exaoctet (1000 Po).

Diviser le prix du Go par 3

Fruits de ces travaux, l’ETERNUS CD1000 du constructeur japonais permet de déployer jusqu’à 224 nœuds sur lesquels il est possible de stocker 56 Po. Pour de telles volumétries, bien sûr, il est inenvisageable d’avoir à payer une facture au Go dans la fourchette de prix pratiquée pour les systèmes de stockage traditionnel. L’approche logicielle (SDS) permet de faire appel à des plateformes matérielles standard qui divisent par trois le prix du stockage au Go. Quant à l’évolutivité modulaire qu’elles permettent, elle laisse le champ libre à des évolutions linéaires à faible coût tant en termes de performance que de capacité. Des évolutions qui se déroulent, évidemment, sans arrêt de service.

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La plateforme ETERNUS CD1000 est équipée des interfaces et protocoles requis pour être perçue comme une infrastructure unique, quel que soit le mode de stockage (objets, fichiers, blocs). Cet environnement de stockage de masse se destine à recueillir des flots de données multiformats, que ce soit de la vidéo, des données scientifiques ou des informations biométriques. Cet œcuménisme à l’endroit des données se retrouve dans la diversité des secteurs économiques concernés : les opérateurs télécoms, la banque/assurance, les acteurs du multimédia et, aussi, toutes les entreprises qui commencent à approcher de près ou de loin l’Internet des objets, source inépuisable d’informations en temps réel.

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Crédit photo : agsandrew / Shutterstock