Test Dell Precision M4700 : l’agilité des stations de travail

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À l’heure de rafraîchir sa gamme de stations de travail, Dell porte son offre sur le facteur de forme nomade, avec le modèle Precision M4700. Essai en images.

Acteur aguerri sur le marché exigeant des stations de travail, Dell a vu de nombreux acteurs prendre position dans son sillage. Face à une meute ambitieuse qu’emmène le jeune loup Lenovo, le constructeur texan porte son offre sur le facteur de forme nomade.

Son fleuron, la Precision M4700, qui succède au modèle M4600 dans une même logique de fiabilité et de réduction du coût total d’exploitation. La configuration évolue ; les prestations aussi. Dell se propose notamment de configurer le poste à la demande : déploiement logiciel, paramétrage du BIOS, partitionnement du disque, service Web de gestion de masters hébergés…

Les offres techniques et de financement (location opérationnelle, crédit-bail, mises à jour, soutien logistique) sont prises en charge par Dell Financial Services, filiale de CIT. Les services sur site, parmi lesquels le diagnostic, la mise en place de ressources et l’expertise stratégique, entrent dans le cadre de la garantie Dell ProSupport, extensible de 3 à 6 ans pour 217 euros HT.

Auteur d’une prestation remarquée avec la M4600, Dell remet sur le métier son ouvrage et propose une machine dont la version de base est affichée à 1149 euros HT pour du Core i5-3320M. La configuration passée au crible est plus généreuse : du Core i7-3940XM (quadricœur à 3 GHz), une solution graphique AMD FirePro M4000, jusqu’à 32 Go de mémoire et 1,8 To de stockage, ainsi que les bénéfices revendiqués d’une batterie longue durée amovible, d’un châssis renforcé, d’un écran IPS ou encore d’un système d’exploitation Windows 7 Ultimate agrémenté d’un écosystème logiciel signé Dell.

Mais il faut compter plus de 2000 euros. Le juste prix ? Découvrez-le en images.

Test Dell Precision M4700

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Un SSD mi-figue, mi-raisin
Les débits du SSD Samsung 830 varient, mais se maintiennent systématiquement au-delà des 300 Mo/s, avec jusqu'à 448 Mo/s en lecture séquentielle (pic enregistré à 408 Mo/s en écriture). En lecture aléatoire, le débit baisse à 302 Mo/s (140 Mo/s en écriture). Le recul est plus significatif encore lors de la manipulation de petits fichiers. On n'atteint, en copie d'un dossier vers un autre, qu'un extremum à partir de 200 Mo transférés. L'extraction d'archives offre de meilleures performances.

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Crédit photos : Silicon.fr