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MWC 2014 : Fleur Pellerin soutient une centaine d'entreprises

L'édition 2014 du Mobile World Congress de Barcelone est une nouvelle occasion pour Fleur Pellerin, ministre chargée de l'Économie numérique, de promouvoir la « French Tech », ses entreprises et ses talents, auprès d'investisseurs internationaux.

Publié par La rédaction le | Mis à jour le
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MWC 2014 : Fleur Pellerin soutient une centaine d'entreprises

Après s'être rendue le mois dernier au Consumer Electronic Show (lire : Fleur Pellerin : bilan d'une VRP de la « French Tech » au CES de Las Vegas), la ministre en charge de l'Économie numérique, Fleur Pellerin, se déplace au Mobile World Congress (MWC) de Barcelone pour promouvoir les entreprises françaises et la marque ombrelle « French Tech ». Objectif : convaincre les investisseurs des atouts français en matière d'innovation.

Une centaine d'entreprises françaises au MWC

Sur le MWC, grand-messe de l'industrie mobile, l'hexagone dispose d'un pavillon chapeauté par Ubifrance, l'agence française pour le développement international des entreprises. « La France est le pays qui a le plus gros contingent d'entreprises présentes ici à Barcelone. Elles sont plus de 100 à exposer leurs services et leurs innovations », explique la ministre citée dans Les Échos.

Sont présents les poids lourds de la filière, de l'opérateur historique Orange à l'équipementier franco-américain Alcatel-Lucent. De nombreuses PME et des jeunes pousses, notamment sur le segment du paiement mobile, sont aussi de la partie. « La marque France est une belle marque sur laquelle il faut capitaliser », a assuré Fleur Pellerin. Et le label French Tech, lancé en novembre et officialisé en janvier (lire : French Tech : Fleur Pellerin rêve d'une Silicon Valley tricolore), « fonctionne bien ».

Pour accompagner la transformation de PME en entreprises de taille intermédiaire (ETI) capables de se développer à l'international, Fleur Pellerin est favorable à plus de coopération européenne. Mais, elle ne se prononce pas pour la constitution d'un « Airbus » du numérique. Ce type d'organisation « peut convenir à l'industrie mais n'est pas adapté aux nouvelles technologies, où les cycles d'innovation raccourcissent sans cesse », a indiqué la ministre.

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