« Comme un tableau, mais avec les capacités d’une base de données ». Ainsi AWS décrit-il l’unité fonctionnelle de base d’Amazon Honeycode.
Le groupe américain lance, en bêta, cet outil de développement low code qui vient concurrencer PowerApps de Microsoft et App Maker de Google.
Son usage est gratuit aussi longtemps que les applications qu’on crée ne réunissent pas plus de 20 utilisateurs.
Pour accompagner la conception, AWS propose une dizaine de modèles : suivi client, gestion d’inventaire, rapport d’absence, liste de tâches…
Il y adjoint une dose d’automatisation, à travers quatre types d’événements qui peuvent déclencher des actions sur les « unités fonctionnelles ».
Les applications s’organisent en workbooks. Au-delà de l’utilisation « classique »*, on peut les exploiter par l’intermédiaire d’une API.
D’après Gartner, à l’horizon 2024, 65 % des développements d’applications en entreprise impliqueront du low-code.
La dernière édition de son Magic Quadrant distingue cinq « leaders » sur ce segment : Appian, Mendix, Microsoft, OutSystems et Salesforce.
* L’utilisation sur mobile passe par l’application Honeycode Player (iOS, Android).
Illustration principale © AWS
Diverses tendances animant l'univers des LLM transparaissent en filigrane du discours de Meta sur Llama…
Mandiant a attribué un APT à Sandworm, considéré comme le principal groupe cybercriminel à la…
Les deux startup proposent un connecteur entre la platefome OpenCTI de Filigran et l’EDR de…
Des chercheurs ont mis des agents LLM à l'épreuve dans la détection et l'exploitation de…
Dans la lignée de Signal, iMessage intègre une couche de chiffrement post-quantique.
Douze fournisseurs sont classés dans le dernier Magic Quadrant des infrastructures LAN.