Des contraintes de localisation de données ? Des obligations dans le cadre d’un consortium ? Il y a OpenShift pour ça.
IBM s’adresse désormais ainsi aux organisations qui souhaitent exploiter son offre Blockchain Platform, destinée au développement d’applications décentralisées.
Jusqu’alors, la communication était axée sur IBM Kubernetes Services comme levier de déploiement hybride.
Une autre plate-forme de conteneurs est désormais mise en avant : OpenShift.
Blockchain Platform a été « optimisé », affirme IBM, pour une mise en place sur ce socle*.
IBM a fait d’OpenShift un pilier de sa stratégie cloud hybride.
Il l’a rendu accessible sur ses offres de cloud public et de cloud privé, ainsi que sur ses serveurs Power Systems et ses mainframes (Z, LinuxONE).
Il a aussi entrepris de décliner ses propres logiciels sur ce socle technologique, à travers des « Cloud Paks ». Ces derniers regroupent chacun un middleware, des composants open source et des services qui leur sont communs (authentification, journalisation…).
* Socle qui présente, entre autres, l’avantage d’une connexion à Jenkins pour l’intégration continue, d’un contexte de sécurité d’application plus strict par défaut et d’une console développeurs simplifiée.
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