« Nos clients et prospects veulent protéger leur IT contre les cyberattaques, dont les ransomwares. Ils veulent gérer aussi de grands volumes de données à moindre coût. Il n’existe pas de solution miracle, mais de bonnes pratiques à mettre en place au moyen de plusieurs outils, » prévient Stéphane Cardot, Directeur avant-ventes de Quantum EMEA.
Le groupe breton de travaux publics Le Du, quelques mois après avoir refondu son ERP, souhaitait pouvoir redémarrer rapidement en cas d’attaque, avec des données saines, non chiffrées. Il a retenu un partenaire local de Quantum pour renouveler son architecture de sauvegarde, en suivant les recommandations de la CNIL pour garantir l’immuabilité des données numériques.
« Nous avons mis en place des périphériques intelligents protégeant les données sauvegardées. Au-delà des sauvegardes menées sur disques, une rétention longue s’appuie sur une librairie de bandes magnétiques Quantum capable de déplacer la bande vers une partition invisible du logiciel de sauvegarde. Le hacker prenant le contrôle de l’outil de sauvegarde ne verra pas ces données et ne pourra donc pas les chiffrer, » explique-t-il.
Une bonne pratique consiste à entraîner les équipes IT à la restauration depuis cette librairie, pour qu’elles maîtrisent le processus en cas d’attaque et qu’elles puissent assurer la continuité des activités informatiques.
300 à 600 Peta-octets à stocker et protéger
De nombreuses entreprises génèrent de grandes quantités d’informations non structurées qu’elles doivent protéger sans multiplier les copies.
Ainsi, l’institut européen de biotechnologies EBI et Genomic England mènent-elles de nombreuses simulations autour du génome humain, outre-Manche. Confrontées à une volumétrie croissante, elles devaient s’affranchir de la limite de capacité de baies NAS.
Quantum les aide à protéger 300 à 600 Po de données actives, autour d’un stockage objet, une solution flexible et évolutive, incluant une administration simple, tout le stockage restant visible au travers d’un même namespace.
« Nous avons mis en place un référentiel objet, un datalake et des clusters répartis sur trois sites, pour que tous les contenus soient toujours accessibles. Notre mécanisme d’Eraser Coding (codage par effacement) protège des pannes de disque par répartition de segments. L’intérêt est aussi économique, avec 70% de gains par rapport à une réplication classique, » détaille Stéphane Cardot.
Lorsque l’archivage de données froides sur un cloud public n’est pas envisageable, pour des raisons de souveraineté, l’organisation doit créer son propre service de rétention longue, pour 5 ans, 10 ans et au-delà. Quantum suggère alors la combinaison du stockage objet en frontal associé à une librairie de bandes pour conserver la donnée à moindre coût, en mode cloud privé.
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