Résilience et co-innovation caractérisent le cloud Microsoft Azure

Qu'est-ce que Brand Voice ?

Après le télétravail à marche forcée durant plus d’un an, la reprise d’activité s’appuie volontiers sur des services plus agiles et en ligne qu’offrent les infrastructures, plateformes et produits logiciels sur Microsoft Azure. 

Les plateformes de productivité modernes telles Microsoft 365, Teams ou Dynamics 365 s’adossent à l’offre cloud Microsoft Azure pour offrir une collaboration plus agile, sans limite. Elles fluidifient les activités métiers, tout en brisant les silos subsistants dans l’entreprise.

« Quelques 65% des applications seront développées en no code dici à 2024, prévoit le cabinet Gartner. Nous pensons que chaque utilisateur professionnel sera bientôt en mesure d’automatiser ses propres tâches. La SNCF compte déjà 2 500 cheminots créateurs d’apps conçues avec très peu de codage. Avec le cloud Microsoft Azure, on apprend en testant, au plus près du terrain », illustre Benjamin Szames, directeur développement du secteur public de Microsoft France.

Un tremplin pour innover en toute sécurité

Enchaîner des itérations courtes, en mode ‘Tests and Learn’, c’est impliquer les utilisateurs à chaque étape du développement de nouveaux services ; cette approche agile se révèle capable de fournir des applications intuitives et multiplateformes, plus rapidement que le projet traditionnel, plus linéaire et plus long, aux cycles en V.

Avec le cloud Microsoft Azure, les directions métiers ont l’opportunité de reprendre le contrôle et le rythme de leurs développements, de l’expression des besoins jusqu’à la livraison des services. Elles peuvent créer des applications personnalisées, à façon, et se concentrer sur l’usage plutôt que sur le codage.

L’utilisateur devient celui qui créé l’application. On retrouve cette tendance avec le phénomène citizen-developer, où le citoyen propose rapidement un service utile à tous, en s’appuyant sur les technologies du cloud, de l’open source et de l’open data.

Simultanément, les développeurs de la DSI poursuivent un objectif distinct. Ils accélèrent la rapidité de mise en production des applications, en mode DevOps et améliorent l’expérience utilisateur, en s’appuyant sur l’environnement intégré Visual Studio et sur la Power Platform, dotée nativement de plus de 400 connecteurs vers les systèmes en place et d’outils de transformation de données. Ils rendent tangible la chaine d’intégration et de déploiement continue et, en suivant des boucles agiles impliquant les métiers, ils contribuent à l’automatisation des processus.

Créer et répartir des services sûrs et performants pour les métiers passe de plus en plus par la plateforme Microsoft Azure. Les entreprises migrent une partie de leurs ressources vers le cloud, car elles veulent, plus que jamais, innover vite et à moindre coût,  gagner en agilité, en sécurité et en performances.

L’open source est le carburant de l’innovation

96% des applications déployées contiennent de l’open source, et 80 à 90% du code dans ces nouvelles applications sont en open source.
Microsoft s’élève au rang des plus importants acteurs de l’open source dans le monde. Fort de ce constat, Microsoft aide ses clients et partenaires à tirer le meilleur de l’open source pour réussir leur transformation numérique et s’ils le souhaitent, à contribuer, à leur tour, pour faire grandir les savoirs communs, en partageant ces lignes de code. Comment ? En agissant à large échelle à la délivrance de services open source et en utilisant des briques open source pour pour ses propres solutions.

Microsoft Azure pour espace de travail collaboratif

 La plateforme collaborative Teams maintient la collaboration en temps réel entre les salariés ou les agents en télétravail, les échanges de documents sécurisés bénéficiant des interfaces conviviales de la suite Microsoft 365. Dans un contexte de retour partiel au bureau, le cloud public de Microsoft soutient les téléréunions et un nombre croissant d’activités professionnelles menées en ligne. Les décideurs s’appuient volontiers sur des analyses de données ré , comme avec les citoyens et de piloter plus finement les activités, ou l’action politique. Cela passe par des collaborations, en mode projet, que l’on soit en télétravail ou en flex-office – dans un bureau sans espace attitré -, en situation de mobilité, face aux clients ou face aux électeurs. Les performances, l’agilité et la sécurité s’imposent des postes mobiles jusqu’aux fermes de serveurs.

« La crise a accéléré les projets de transformation digitale. Elle a révélé aussi l’importance de mettre en place une gouvernance de la data, pour mener une transformation plus complète », note Benjamin Szames.

Un socle d’infrastructure résilient

La disponibilité continue des services s’avère cruciale pour soutenir les projets de relance. Le socle d’infrastructure doit donc permettre des bascules en cas de panne, quel que soit l’équipement actif en cause. « Le cloud Microsoft Azure offre plus de garanties de robustesse et de sécurité qu’un petit datacenter privé de proximité . Étant donné les investissements consentis, Microsoft permet de gérer des plans de reprise et de continuité d’activités, avec une réplication des données et à un redémarrage rapide, sans la moindre perte d’informations », observe-t-il. Cette résilience devient un critère essentiel pour les agences gouvernementales. Suivant la récente doctrine de l’Etat Cloud au Centre, les grandes administrations devront faire le choix du cloud pour tous leurs projets. Il leur faut donc disposer d’infrastructures résilientes.

De même, les collectivités territoriales regroupent leurs ressources pour consolider les données et harmoniser leurs services . Elles créent un guichet unique où les ressources IT sont mutualisées pour des raisons économiques et pour entretenir des liens sociaux. C’est le cas par exemple des médiathèques, centres éducatifs, culturels ou sportifs, qui coordonnent leurs activités autour d’un portail de services cloud. Au-delà du plan de reprise d’activités, l’infrastructure Microsoft Azure fournit de précieuses facultés d’automatisation et de mise à l’échelle des services.

Microsoft Azure : Un cloud ouvert

Microsoft a conçu Azure comme un cloud le plus ouvert possible, en termes de transparence sur les outils utilisés, de contribution aux communautés open source, de liberté de choix donnée aux clients, de levée des barrières à l’entrée et à la sortie de l’utilisation de ses technologies.

Sept principes fondamentaux résument la philosophie de Microsoft : se servir au maximum d’outils open source afin d’offrir une réelle liberté aux clients, les contraindre le moins possible et leur permettre de sortir entièrement ou en partie d’Azure sans friction ni perte. Et redistribuer à la communauté open source les apprentissages issus de notre collaboration avec nos clients.

  1. Azure repose sur une infrastructure matérielle standardisée, dont le blueprint est publié sous licence libre au sein du projet Open Compute Project.
  2. Azure repose sur des logiciels libres, soit des composants internes libres publiés et maintenus par une communauté (Kubernetes, Azure Mariner, Nginx, SONiC…). Ainsi, le cloud Azure lui-même est le résultat d’une construction de logiciels libres. Les composants de son moteur sont des composants libres et les améliorations apportées par Microsoft sont reversées à la communauté.
  3. Le cloud Azure est mis à disposition sans imposer le choix d’un outil en particulier pour l’utiliser. On peut donc utiliser des outils natifs (le portail) mais aussi des outils tiers pour lesquels Microsoft agit en tant que contributeur (comme Terraform, Ansible, etc.). Les clients Azure travaillent avec les outils qu’ils préfèrent, sans être aucunement contraints.
  4. Azure n’utilise que des protocoles de communication ouverts (mqtt, http, openid, etc.) et n’impose pas ses propres protocoles. La seule contrainte imposée est d’utiliser des protocoles standards et ouverts.
  5. Azure supporte toutes les technologies : langages (python, java, etc.) ou systèmes d’exploitation (Linux, Windows).Par ailleurs, il est à noter que Microsoft exploite désormais l’architecture open source Chromium pour son navigateur web, Microsoft Edge.
  6. Azure propose des services packagés et managés (gérés par Microsoft) fondés sur des composants libres auxquels Microsoft contribue et dont il respecte le modèle économique (Redis, Databricks, Hadoop, MySQL, PostgreSQL, RedHat, OpenShift, Spring Boot, Kubernetes,)
  7. Il est possible de visiter une région Azure, certaines étant ouvertes au public. A Dublin par exemple, on peut visiter les Data Centers de Microsoft pour mieux comprendre leur fonctionnement.

Microsoft : un acteur majeur de l’open source

30 000 employés de Microsoft possèdent un compte GitHub associé à l’identité Microsoft. L’éditeur est, de loin, le premier contributeur sur la plateforme GitHub.

Microsoft contribue de façon continue au noyau Linux : en 2009, sa contribution représentait 20 000 lignes de code et n’a jamais cessé de croître jusqu’à aujourd’hui.

Les développeurs Microsoft utilisent 60 000 composants sous licence libre qui sont exécutés 9,5 millions de fois sur la plateforme Microsoft : ils peuvent ainsi se concentrer sur l’innovation.

Par ailleurs, Microsoft collabore et s’engage avec les fondations qui soutiennent les projets open source, pour faciliter la collaboration des différents acteurs du secteur. L’éditeur participe, sponsorise et s’associe à de nombreuses autres initiatives visant à améliorer l’écosystème open source. Microsoft vient par exemple d’intégrer l’Open Source Security Foundation dans le but d’améliorer la sécurité des logiciels open source en développant une communauté élargie, des initiatives ciblées et des recommandations.

« En somme avec l’Open Source, c’est un virage à 180° opéré depuis bientôt 10 ans par Microsoft qui illustre la transformation culturelle profonde du groupe : une nouvelle identité tournée vers l’utilisation et la contribution à de nombreux codes source ouverts reposant sur des engagements forts en cohérence avec l’ambition d’être un acteur responsable et mature sur les nouvelles technologies. »