Dans l’atelier d’Aldebaran à Issy les Moulineaux, le fondateur et directeur général Bruno Maisonnier a annoncé le lancement de Pepper, robot qui succède à Nao. La philosophie de ces humanoïdes est de devenir des robots compagnons qui interagissent avec les hommes. Si on ajoute une connexion à Internet, des milliards de possibilité sont alors ouvertes allant de la surveillance, de l’information, de la collaboration, etc.
Le premier client de Nao et Pepper sont les japonais et Softbank en particulier. Pour eux, ils sont à la frontière entre le grand public et le professionnel. Les robots suscitent de la curiosité et créent du trafic dans les agences de Softbank. Cet exemple peut marcher dans d’autres entreprises comme les assurances, les restaurants…
Complexité technique ? Il y a 200 technologies à maîtriser dans un robot (les batteries, le dialogue, les roues, l’intelligence artificielle, etc.). Aujourd’hui, l’idée est de les proposer à des tarifs abordables (1500 euros) pour créer une communauté et susciter l’intérêt des développeurs pour en vendre plus et faire baisser les prix.
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