BYOD : 4 bonnes pratiques avant de se lancer

Good Technology sécurité gestion mobilité BYOD (crédit photo © Adam Radosavljevic - shutterstock)

Comment permettre aux utilisateurs d’utiliser leur terminal préféré, celui avec lequel ils sont le plus productif, sans remettre en cause la cohérence et la sécurité du SI. (Article sponsorisé par Fujitsu)

Article sponsorisé par Fujitsu

Confier un budget aux utilisateurs pour qu’ils s’équipent peut être une source d’économie, mais cela permet surtout d’améliorer les rapports entre, d’une part, les utilisateurs et leur équipement et, d’autre part, entre ces mêmes utilisateurs et la DSI. Bref, de mieux travailler ensemble.

Mais ces progrès ne doivent pas faire oublier la gageure consistant à insérer dans le système d’information (SI) une hétérogénéité qui, si elle peut être source de gains de productivité, constitue aussi une menace pour sa solidité. Concertation et pragmatisme doivent donc être au cœur des projets de BYOD (Bring Your Own Device, littéralement venez avec votre propre terminal) .

Fujitsu, qui dispose de l’ensemble des compétences et des équipements nécessaires à la mise en application de stratégies d’investissement fondées sur le BYOD, fonde sa démarche sur quatre bonnes pratiques permettant de profiter des capacités d’innovation venant des produits dits « grand public » tout en assurant la cohérence et la performance du SI.

1)      Placer les utilisateurs au cœur des choix

La réussite de l’évolution majeure d’un SI dépend toujours de l’adhésion de ses utilisateurs. C’est d’autant plus vrai avec le BYOD qui leur confie le choix de leur équipement. Dès le lancement de son ou de ses projets de BYOD, la DSI se doit d’associer les utilisateurs concernés aux choix qui vont être faits et d’encadrer cette latitude suivant deux séries de critères.

La première prend en compte le potentiel d’autonomie des populations visées. Il s’évalue suivant des paramètres d’ordre démographiques (comme l’âge) et culturels (le niveau moyen de compétences informatiques) des populations concernées.

La seconde série permet de déterminer, en association avec les utilisateurs, les besoins professionnels auxquels les équipements doivent répondre. Ceux d’une équipe de commerciaux de terrain n’ont que peu ce rapport avec ceux des salariés en charge de l’administration des ventes, du marketing ou des RH.

2)      Proposer une hétérogénéité positive

Si le BYOD permet aux utilisateurs de s’investir plus dans l’utilisation des équipements qu’ils choisissent parce qu’ils correspondent mieux à leurs besoins, la DSI doit préconiser des équipements avec des caractéristiques techniques qu’elle est la seule à pouvoir établir. Ces caractéristiques doivent permettre de déboucher sur le bouquet de fonctionnalités nécessaires à la fois à la qualité de services attendus par les utilisateurs et aux impératifs de connectivité et de sécurité de la DSI.

3)      Penser infrastructure globale

Qu’il soit un ordinateur portable, une tablette ou un smartphone, le poste de travail n’existe qu’une fois intégré au SI de l’entreprise. Tant le catalogue de Fujitsu, dont l’offre va du datacenter aux différents terminaux personnels, que sa culture de services lui permettent d’accompagner de bout en bout ses clients dans une démarche globale, la seule permettant de tirer profit des avantages du BYOD en évitant ses écueils

4)      Placer le support en clé de voûte

Se focaliser sur les économies réalisées en achetant des matériels grand public peut… coûter cher. Les garanties proposées par les circuits de distribution, même celles facturées en option, ne permettent pas de pallier les conséquences d’une panne dans des délais compatibles avec des impératifs professionnels. La DSI doit donc prendre en compte les contraintes de support dès le processus de sélection des équipements éligibles à la politique BYOD maison.

Retrouvez les témoignages d’experts et d’entreprises utilisatrices de terminaux mobiles lors du Fujitsu World Tour, qui se déroule le 25 septembre à Paris.

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