Comment combler le vide que laisse l’abandon de CentOS ? En assouplissant les conditions d’accès à RHEL. C’est la piste que Red Hat suit depuis quelques semaines.
La démarche s’est déjà traduite par l’adaptation du Developer Program. Depuis le 1er février, il permet d’exploiter RHEL en production, sur 16 systèmes au maximum. Auparavant, il se limitait à un système avec jusqu’à 16 VM, et sans usage en prod. Il est par ailleurs devenu possible de rattacher plusieurs développeurs à un même compte.
Red Hat vient de faire un autre pas, cette fois en direction des projets open source. Et, plus généralement, de toutes les organisations à but non lucratif qui portent ces projets. Il leur propose, sous réserve de validation après prise de contact par mail, un accès complet à ses ressources documentaires (portail, forums, base de connaissances). Ainsi qu’à l’outil analytique Red Hat Insights. « Nous pourrions aussi proposer un support gratuit en fonction de la nature et du périmètre de l’organisation », précise l’éditeur.
Ce programme « RHEL for Open Source Infrastructure » formalise une pratique déjà d’actualité. Il englobe l’ensemble de l’infrastructure propre aux projets open source. Sans toutefois couvrir les équipements de fournisseurs tiers, par exemple pour les serveurs CI.
Photo d’illustration © jared_smith / CC BY-NC-ND 2.0
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