L’API Retail Rates ne parle plus seulement en dollars américains. Elle peut désormais communiquer les prix publics des services Azure dans 16 autres devises.
Retail Rates n’est qu’une API parmi toutes celles que Microsoft propose pour contrôler les coûts. Elle a toutefois de particulier qu’on peut y faire appel sans authentification, à l’URL suivante.
https://prices.azure.com/api/retail/prices
Pour qui n’est pas client Azure, c’est donc une méthode alternative au calculateur de tarifs. Qui prend déjà en charge d’autres devises que le $.
L’équivalent chez AWS s’appelle Price List Service. Il nécessite toutefois un jeton d’autorisation (pas d’accès public). L’API renvoie les données au format JSON, comme Retail Rates. Elle prend en charge les instances réservées et à la demande. Mais pas les Savings Plans, qui consistent en un engagement à utiliser une quantité spécifique de puissance. Pour y faire appel, deux adresses :
https://api.pricing.us-east-1.amazonaws.com
https://api.pricing.ap-south-1.amazonaws.com
À l’origine, il s’agissait d’une API en bloc. Elle reste accessible sous cette forme. Les informations qu’elle permet de télécharger – en JSON ou CSV – sont moins précises. Elles ne peuvent pas porter sur un SKU spécifique, mais sur l’ensemble des produits constitutifs d’un service donné, éventuellement dans une région cloud déterminée. Il est, en revanche, possible de consulter les tarifs en Savings Plan.
La liste des fichiers relatifs aux différents services pris en charge se trouve dans un index récupérable à l’URL ci-dessous.
https://pricing.us-east-1.amazonaws.com/offers/v1.0/aws/index.json
AWS précise que seuls font foi les prix affichés sur les pages des services. Ceux que fournit l’API n’ont qu’une valeur indicative. Il en va de même pour ceux obtenus par l’intermédiaire du calculateur.
Chez Google Cloud, le pendant de Retail Rates est disponible depuis trois ans. Son nom : Cloud Billing Catalog. On l’invoque à l’adresse qui suit. Là aussi, avec une clé d’API.
https://cloudbilling.googleapis.com/v1/services
Cloud Billing Catalog prend en charge une trentaine de devises. Il complète une boîte à outils qui comprend là aussi un simulateur de coûts. Ce dernier est quasiment la seule ressource accessible sans disposer de compte de facturation Google Cloud.
Illustration principale © Rawpixel.com – Adobe Stock
Douze fournisseurs sont classés dans le dernier Magic Quadrant des infrastructures LAN.
Commvault s'offre Appranix, éditeur d'une plateforme cloud de protection et de restauration des applications.
Intel se greffe au projet OPEA OPEA (Open Enterprise Platform for AI) et y pousse…
Le Conseil d’Administration de l’Association des Utilisateurs SAP Francophones ( USF) a réélu Gianmaria Perancin…
Le secteur du transport aérien utilise des algorithmes depuis des années. Mais cette chasse gardée…
Une option de traitement par lots est arrivée sur l'API OpenAI. Voici quelques clés de…