Comptez sur un lancement d’ici à la fin de l’année : AWS fait passer le message au sujet de son offre Outposts.
Objectif de la firme américaine : permettre d’exploiter les capacités de son cloud public sur des infrastructures internes.
Microsoft fait une promesse similaire avec Azure Stack*, disponible depuis juillet 2017.
Dans le viseur, les charges de travail qui nécessitent une faible latence ou des traitements de données locaux. Par exemple la robotique industrielle, le trading haute fréquence et la gestion de live streamings.
En ce sens, Outposts se rapproche d’un autre service AWS : Snowball Edge.
Cette dernière est toutefois conçue pour fonctionner en périphérie (edge), dans des environnements où la connectivité réseau est limitée.
Outposts, au contraire, est connecté à une région AWS où se trouve son plan de contrôle. Ainsi prend-il en charge les VPC (ressources Amazon Virtual Private Cloud).
Deux versions sont proposées : une native et une pour VMware Cloud. Elles permettent d’utiliser les mêmes outils de déploiement et les mêmes API que sur AWS.
L’infrastructure se fonde sur des configurations « clés en main » débutant au quart de rack (format 42U). AWS entend proposer, au lancement commercial, la prise en charge de :
* Azure Stack est facturé à l’usage : nombre de VM et utilisation ; stockage mis en oeuvre ; usage des applications. AWS n’a pas encore officialisé de tarification.
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