ECLAIRAGE : Oracle 11g R2 serait-il moins pénible au soleil ?…

Encore plus de virtualisation et de performances pour le numéro 1 des SGBD. Oracle recommande le couplage avec Sun, et vise surtout les clients encore sous la version 10g ou 9i.

P.1- De Linux à Unix, Solaris, Windows…

P 2 – RAC ou… rien à cirer de mon environnement hétérogène ?!…

P.3- Traitement parallèle en mémoire + Sun

P.4- Réduire les volumes de data

P.5- Migrer les bases 10g (voire 9i…)

P.6- Face à IBM DB2, Microsoft, Teradata…

Oracle 11g R2 générerait une réduction des coûts selon un facteur 5, des coûts liés au matériel, essentiellement.

Premier vecteur d’économies: la technologie RAC (Real Application Clusters) : elle virtualise les serveurs de l’entreprise (y compris les machines d’entrée de gamme). Alors, l’ensemble des ressources disponibles est partagé sur une plate-forme unique hébergeant toutes les bases de données pour toutes les applications. Voire d’autres applications tierces (cf. plus loin).

La nouvelle offre d’entrée de gamme RAC One Node permet de disposer de la haute disponibilité à un prix plus compétitif.

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« Avec cette solution, le client dispose de deux nœuds dont un seul est actif à un moment donné. Si un problème se présente, le système peut ‘switcher’ automatiquement. La différence est de taille, puisque cette offre est facturée environ 10.000 dollars par CPU contre 33.000 pour RAC », précise Mark Townsend, vice-président Oracle Database Product Management.

En cas de besoin, le client acquittera uniquement la différence pour évoluer vers RAC. Cette consolidation peut effectivement réduire les coûts en augmentant le taux d’utilisation des serveurs, ou en disposant d’une haute disponibilité simple à administrer.

La version R2 apporte en outre le Dynamic Cluster Partitioning. L’administrateur définit des serveurs dédiés à des groupes de tâches (sur l’ensemble du cluster (minimum, maximum, priorité…), et le système réalloue dynamiquement les serveurs non attribués en cas de besoin.