Va-t-on voir renaître la version « originale » d’Edge ?
Le 15 janvier 2020 s’y est officiellement substituée la mouture fondée sur le navigateur libre Chromium.
Depuis lors, la transition est automatique sur les postes Windows 10 (version 1803 et ultérieures) où les mises à jour se font via Windows Update. À moins de réaliser quelques ajustements.
Pour cela, Microsoft a mis à disposition un toolkit. Il contient deux outils : des paramètres de stratégie de groupe et un script (.cmd). L’un et l’autre ont pour effet de bloquer le téléchargement automatique du « nouvel » Edge sur les postes concernés.
Les dernières versions du navigateur publiées sur les canaux Dev et Canary offrent une alternative au niveau des utilisateurs finaux.
Cette alternative se fonde sur la fonctionnalité expérimentale « IE mode ».
Activable à travers le drapeau edge://flags/#edge-internet-explorer-integration, elle faisait jusqu’alors apparaître, dans le menu « Outils supplémentaires », une option « Ouvrir les sites en mode Internet Explorer ». Ce à condition de lancer le navigateur avec le paramètre –ie-mode-test.
Une deuxième option apparaît désormais : « Ouvrir les sites en mode Microsoft Edge ». On peut supposer qu’elle sert à émuler l’« ancien » Edge et son moteur de rendu propriétaire. Même si elle ne semble pas opérationnelle.
Microsoft déclare ne pas avoir – tout du moins en l’état – l’intention d’intégrer ce mode de compatibilité sur le canal stable d’Edge. Le « mode IE » lui-même ne serait présent que pour un usage interne.
Illustration © Microsoft
A l'occasion de l'université d'été Hexatrust, le directeur général de l'ANSSI Vincent Strubel a confirmé…
Microsoft a mis à jour sa principale bibliothèque cryptographique pour y ajouter deux algorithmes post-quantiques.
Mistral AI donne un premier aperçu de ses travaux sur la multimodalité en publiant Pixtral,…
La CJUE a confirmé une décision de la Commission européenne imposant à l'Irlande de récupérer…
8 milliards de livres, soit 9,5 milliards d'euros, au Royaume-Uni sur cinq ans.Le leader mondial…
Comme il l'a déjà fait avec Microsoft, Oracle va héberger de l'infrastructure OCI chez Google…