Emplois : Additeam recrute pour redorer l’image des SSII

Le Groupe Additeam recute 30 personnes dans les secteurs du support, de l’analyste et de l’ingénierie. Pour répondre aux nouveaux marchés de la SSII dans les secteurs de la banque, notamment.

Analyste programmeur Delphi, technicien support, administrateur web, ingénieur système Solaris… Généralistes ou spécialisés, les profils IT recherchés par Groupe AddiTeam sont riches et variés. La SSII française créée en 2003 et qui revendique son indépendance annonce un plan de recrutement de 30 informaticiens avant la fin 2011.

Les nouveaux venus rejoindront les 150 ingénieurs déjà présents. Ils participeront aux nouveaux projets d’Additeam qui gagne de nouveaux marchés, notamment auprès des grands comptes dans les secteurs du retail, de l’énergie ou encore bancaire. Si les besoins du groupe se concentrent sur les analystes d’exploitation, techniciens support, administrateurs réseaux, ingénieurs systèmes et gestionnaires de bases de données, « nous ne négligeons pas les profils de développeurs expérimentés (J2EE, Dotnet et Business Intelligence) qui restent un socle de notre activité en Ile-de-France », note Eric Decalf, fondateur et PDG du Groupe Additeam.

Faire percevoir ce secteur d’activité sous toutes ses facettes

Les candidats devront mettre en valeur leurs connaissances sur les principales plates-formes du marché, à savoir Microsoft, Unix, Oracle et Sybase. « Les profils recherchés doivent également être de bons communicants et faire preuve de précision, de rigueur et d’autonomie », souligne Arthur Tricoche, directeur de l’agence Paris. Les postes sont à pourvoir sur l’Ile-de-France ainsi qu’en province, sur la région lilloise notamment.

Et pour mieux attirer les candidats, Eric Decalf invite à redresser l’image des SSII : « Si nos sociétés d’ingénierie sont si mal vues de leur public (nos clients, nos collaborateurs, nos syndicats), c’est uniquement de notre faute : par nos comportements, par notre état d’esprit, par nos messages, par notre dynamisme, nous devons absolument, dans les 3 ans qui viennent, réussir enfin à faire percevoir ce secteur d’activité sous toutes ses facettes, nombreuses, et méconnues »