Enterrement de la hache de guerre chez le fabricant de semi-conducteurs franco-italien. Alors même que ce dernier annonçait la signature d’une alliance avec NXP dans le sans-fil, un accord intervenait entre les grévistes du site de Rousset (Bouche-du-Rhône) et la direction, selon une information de La Tribune.
Le mouvement, lancé le 20 mars, avait pour objectif d’obtenir une augmentation de salaire de 100 euros pour les rémunérations les plus basses. La grève, limitée aux opérateurs, techniciens et agents de maintenance, soit les équipes de production n’aurait pas fait tache d’huile. Pour la direction, les effets ne se sont pas vraiment fait sentir. 90% de la production aurait été assurée malgré le débrayage.
Le bilan, malgré les accords, ne correspond pas tout à fait aux attentes des syndicats. La firme a accordé une augmentation générale de 1,7%, à laquelle s’ajoute 1% pour mérite. Les techniciens quant à eux devraient percevoir une augmentation de 1,9%. Dans les négociations, les syndicats ont également obtenu un règlement partiel des jours non travaillés.
On notera que l’Etat, actionnaire à hauteur de 13,77% de la société, est resté discret tout au long du conflit.
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