Auto Commit Memory (ACM), présenté par Fusion-io, est une extension du sous-système de mémoire flash Fusion ioMemory – qui intègre la mémoire flash au serveur via des cartes PCIe, ce qui dispense de l’usage d’interfaces entre le processeur et le stockage, SATA (Serial Advanced Technology Storage) par exemple – destinée à réduire la latence des opérations d’entrée/sortie (I/O) dans le datacenter.
Avec ACM, Fusion-io supprime une couche logicielle, donc des centaines de milliers d’instructions par cycle, en permettant aux requêtes d’entrée/sortie de passer au travers du système d’exploitation (OS), ce qui libère et donc augmente la performance du serveur.
Le fabricant a pour la première fois réalisé la démonstration de Auto Commit Memory en affichant 1 milliard d’IOPS (opérations I/O par seconde) sur huit serveurs HP ProLiant DL370 équipés de huit sous-systèmes ioDrive2 Duo. Google et Facebook auraient déjà été séduits par cette technologie qui permet au CPU (le processeur) d’adresser directement la mémoire flash. De quoi reprendre la main et de l’avance sur ses concurrents, LSI Logic et Micron.
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