Mardi 21 juin, la juge américaine Lucy Koh a refusé à Samsung le droit d’avoir accès aux nouvelles générations d’iPhone et d’iPad d‘Apple. Pourtant en mai dernier Cupertino avait obtenu gain de cause pour la même requête. Mais la magistrate en charge de l’affaire apporte une justification toute simple: «Finalement l’essence de la plainte d’Apple est que Samsung a copié les produits d’Apple, dit-elle. Le bon sens suppose que les allégations de copie sont nécessairement dirigées contre les produits existants d’Apple, auxquels Samsung a accès et non aux futurs générations de produits», conclue-t-elle.
Par ailleurs contrairement à Samsung, qui a déjà dévoilé bon nombre de ses futurs produits, Apple a une politique de confidentialité extrêmement stricte. Si l’on suppose que l’iPhone 5 (ou iPhone 4GS ?) sera dévoilé en septembre prochain, rien ne permet de le confirmer pour l’instant. La juge a donc refusé d’accéder à la requête du coréen.
La demande d’Apple d’interdire à Samsung de commercialiser les produits visés par la plainte – en l’occurrence les premiers terminaux de la gamme Galaxy – pour violation de brevets a elle aussi été rejetée. Sortie il y a déjà trop longtemps, ils seront bientôt dépassés. Mais rien n’empêche Cupertino de procéder à une expertise de ces produits pour confirmer la thèse du plagiat.
Lucy Kog visiblement lassée par cette affaire a finalement enjoint les deux entreprises à trouver un accord à l’amiable. Si Apple affirme que des négociations sont en cours, Samsung dément toute procédure de conciliation. Et ce d’autant que Samsung fournit (fournissait) les processeurs ARM «A5» qui équipent notamment l’iPad 2.
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