Vers des capacités collaboratives décuplées

Alors que le travail à distance ou en mobilité se démocratise dans tous secteurs, la simplification des échanges est au cœur des attentes. Pourtant, le degré de satisfaction en la matière est loin d’être optimal, comme en témoigne une étude réalisée en 2022 par le GatePoint Research auprès de décideurs de cabinets de conseil : cette dernière révèle que seuls 30 % des travailleurs font confiance à leur solution de collaboration.

Parallèlement, le baromètre d’Archimag de 2021 indique que 50 % des professionnels ne peuvent pas rechercher efficacement l’information utile grâce aux métadonnées et que 84 % souhaiteraient disposer d’un système capable d’offrir une vision centralisée de l’information et des contenus via une interface unique. Il existe donc un fossé de taille entre les caractéristiques des outils à disposition et les solutions que les collaborateurs aimeraient avoir entre les mains.

Entre les innombrables échanges par mail et les problématiques d’accès aux plateformes d’échanges pour des documents volumineux, les communications deviennent toujours plus complexes lorsque les environnements ne sont pas unifiés. Plus que jamais, l’existence de passerelles pour l’ensemble des services et des acteurs dans l’entreprise joue un rôle fondamental. Celles-ci transitent toujours vers une même couche de gestion documentaire que représente le Content Cloud. La productivité des collaborateurs se retrouve ainsi dopée grâce à des applications systématiquement accessibles via la plateforme.

Une plateforme comme chef d’orchestre des données

Un collaborateur manipulant des documents commerciaux via Salesforce doit ainsi retrouver les mêmes capacités de traitement des contenus que son collègue utilisant Microsoft Teams ou Slack. Il en va de même pour un employé des ressources humaines qui manipule des contrats de travail ou des données personnelles d’un collaborateur.

Cette agilité profitable à tous donne lieu à une expérience enrichie pour tous les métiers et toutes les catégories d’utilisateurs d’outils. Ceux-ci peuvent travailler à tout moment autour de multiples typologies de contenus : les ingénieurs d’une unité Recherche & Développement ont régulièrement besoin de travailler avec des homologues du service marketing qui eux-mêmes doivent collaborer étroitement avec des commerciaux. L’ingénieur aura plutôt comme usage de partager des documents Autocad, là où le marketer se tournera vers des fichiers Adobe, alors que le commercial privilégiera la suite Office 365. Tout l’enjeu est alors de permettre à tout le monde de visualiser très facilement les contenus, quel que soit le contexte et les habitudes de travail de chacun.

Avec la couche unifiée qu’apporte le Content Cloud, le partage collaboratif vers l’extérieur de l’organisation en ressort également amélioré. Selon son niveau d’implication, un collaborateur disposera alors d’un droit de lecture, de modification ou davantage. Les transferts de données, les téléchargements de documents peuvent également être autorisés ou non, sans mettre en péril la sécurité de l’infrastructure.

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