Ikoula relance la VM à 1 euro… en mieux

L’hébergeur français repositionne son offre de serveurs virtuels bon marché sous Hyper-V, avec qualité de service, évolutivité et continuité de service. Mieux qu’Amazon ?

Partenariat gagnant/gagnant avec Microsoft
Un exemple d’offre qui plait aussi à Microsoft, comme l’affirme Maziar Zolghadr, directeur Partenaires Service Provider chez Microsoft France : « Ce déploiement illustre notre promesse d’un management maîtrisé des machines virtuelles et des applications en mode cloud. Avec le nouveau System Center, il devient possible de gérer l’infrastructure interne de l’entreprise et ses services sur les clouds publics, privés et hybrides, dans un même environnement. »

Par ailleurs, Ikoula utilise la version Windows Server 2008 Datacenter avec laquelle l’hébergeur ne doit pas payer pour chaque machine virtuelle et licence d’OS. « La Service Provider License Agreement (SPLA) de Microsoft permet au partenaire de pouvoir facturer des licences à l’usage et non en mode acquisition traditionnel. Ce qui permet de bâtir un modèle de type cloud », souligne Maziar Zolghadr.

Simplicité et flexibilité pour les entreprises
Le choix de Microsoft et de Windows Server apparaît comme une évidence à Jules-Henri Gavetti : « Hyper-V est très répandu dans les entreprises. Et certaines nous demandent de pouvoir venir avec leur VHD [NDLR : Microsoft Virtual Hard Disk]. Ils conçoivent leur infrastructure virtuelle chez eux, puis nous transmettent leur VHD et nous déployons leur infrastructure telle quelle dans notre datacenter. Une caractéristique qui leur permet ainsi de ne pas rester captifs chez un hébergeur, puisqu’il suffit de transporter le VHD… »

Autre possibilité intéressante pour l’entreprise, « la Licence Mobility de notre Software Assurance permet à l‘utilisateur de déplacer son application (SQL Server, SharePoint, etc.) chez le prestataire, puisqu’il peut désormais en bénéficier hors du strict périmètre de l’entreprise. Il dispose ainsi de plus de choix : achat de licence ou paiement à l’usage selon qu’il souhaite privilégier les dépenses en fonctionnement ou en investissement », explique Maziar Zolghadr.

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