La période estivale est celle de la confiance retrouvée chez les éditeurs de logiciels, si l’on en croit l’édition de juin du baromètre réalisé par l’institut d’études d’opinion BVA et le Syntec Numérique, fédération patronale représentant près de 1200 groupes et sociétés membres de l’industrie informatique française, en partenariat avec 01 et BFM Business.
60 % des 108 éditeurs interrogés se sont déclarés « rassurés sur l’avenir de la situation économique de leur entreprise », alors que ce taux ne dépassait pas 44 % en décembre dernier. Par ailleurs, comme lors du trimestre précédent, une majorité des éditeurs de l’échantillon (54 %) a estimé en juin 2012 être « en ligne avec ses objectifs ».
Résultat, les éditeurs sont 55 % à prévoir d’augmenter leurs effectifs au second semestre 2012, contre 48 % en mars dernier. Enfin, 70 % des acteurs concernés ont l’intention d’investir sur de nouveaux projets dans les trois mois à venir.
Si les professionnels du software retrouvent le moral, ça n’est pas le cas des entrepreneurs en général. « Cela confirme que l’édition de logiciels est un secteur très dynamique […] dont les résultats sont souvent devant ceux d’autres industries », observe l’un des mentors de la filière, Bruno Vanryb, président du collège éditeurs de Syntec Numérique, cofondateur et PDG d’Avanquest Software, et vice-président du Conseil national du numérique.
En Europe, 68 % des salariés disposent d’un accès à Internet sur leur lieu de travail, 64 % ont un webmail et 57 % travaillent sur du matériel informatique « moderne » et des logiciels récents, observent les auteurs du baromètre réalisé auprès d’un échantillon « représentatif » de plus de 4201 personnes âgées de 15 ans et plus (enquête réalisée en ligne par BVA du 29 mai au 10 juin 2012 en France, Allemagne, Angleterre, Espagne et Italie).
À noter : 75 % des Européens interrogés souhaitent que leurs États investissent davantage dans le numérique.
Enfin, l’étude met en lumière une spécificité française : seuls 8 % des salariés français interrogés sont équipés d’un smartphone fourni par leur employeur, alors que cette proportion est supérieure à 20 % dans les quatre autres pays étudiés. À cela deux explications possibles : le manque de vision ou de moyens des employeurs, d’un côté, la peur du changement de la part des employés, de l’autre.
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