Galileo, qui doit être prêt en 2010, a dans sa phase initiale déjà coûté « plus de 400 millions d’euros » de plus qu’initialement prévu, a indiqué lundi le directeur de Galileo Joint Undertaking, l’entreprise commune chargée de piloter le projet.
« Ces dépenses supplémentaires sont dues notamment à une sous-estimation du coût de fabrication et de lancement des deux satellites-tests (dont le premier a été lancé avec succès en décembre dernier, le lancement du deuxième est attendu d’ici la fin 2006) » a expliqué le directeur, l’allemand Rainer Grohe. Elles s’expliquent aussi par des améliorations apportées à la sécurité du système et enfin par les coûts de fonctionnement de Galileo Joint Undertaking, dont la création en 2003 n’avait pas été budgétée, selon lui. Selon R. Grohe, ces dépenses supplémentaires portent à « environ 1,5 milliard d’euros » le coût de la phase initiale du projet, sur un total estimé à 4,5 milliards d’euros pour le développement et la mise en orbite du système complet, qui comptera 30 satellites.
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