Lenovo vient de présenter les résultats de son premier trimestre de l’exercice décalé 2014-2015. Le constructeur chinois affiche sa bonne santé : chiffre d’affaires en croissance de 18 %, à 10,4 milliards de dollars, et bénéfice net en hausse de 23 %, à 214 millions de dollars.
Le gros des troupes en termes de revenus reste le marché des PC (essentiellement portables). Lenovo en a ainsi écoulé 14,5 millions au cours du dernier trimestre. Un chiffre qui progresse de 15 % sur un an et qui permet à la firme de demeurer le premier constructeur de PC au monde, avec 19,4 % de parts de marché (+2,7 points en un an).
Lenovo se veut également le troisième constructeur de tablettes au monde, avec 2,3 millions de terminaux écoulés sur le trimestre dernier. Soit une croissance de 67 % en un an.
La surprise vient toutefois du monde des smartphones. La firme indique avoir écoulé 15,8 millions de téléphones Android au cours du dernier trimestre (+39 % sur un an), dont 13 millions en Chine. Ceci permettrait au constructeur de prendre la tête du marché chinois (mais aussi d’être en 4e position au niveau mondial).
Des chiffres qui viennent en contradiction avec ceux de Canalys, qui plaçait Xiaomi en première place du marché chinois (voir « Smartphones : Samsung perd la tête du marché chinois »). Lenovo n’a toutefois aucun doute sur sa victoire, même s’il admet qu’il est soumis à une rude concurrence en Chine.
Sur le même thème
Apple premier constructeur d’ordinateurs, devant Lenovo et HP ?
Lenovo espère boucler le rachat des serveurs x86 IBM en 2014
Lenovo passe le cap des 10 milliards de dollars de chiffre d’affaires trimestriel
Diverses tendances animant l'univers des LLM transparaissent en filigrane du discours de Meta sur Llama…
Mandiant a attribué un APT à Sandworm, considéré comme le principal groupe cybercriminel à la…
Les deux startup proposent un connecteur entre la platefome OpenCTI de Filigran et l’EDR de…
Des chercheurs ont mis des agents LLM à l'épreuve dans la détection et l'exploitation de…
Dans la lignée de Signal, iMessage intègre une couche de chiffrement post-quantique.
Douze fournisseurs sont classés dans le dernier Magic Quadrant des infrastructures LAN.