Quaero (en latin, « je cherche ») veut faire mieux que Google en s’appuyant sur des techniques avancées de transcription, d’indexation et de traduction automatique de documents audiovisuels, mais pour relever ce défi le futur moteur de recherche doit tout d’abord trouver des partenaires.
Et cela commence à prendre forme puisque le ministère allemand de l’Économie vient de présenter sa première liste d’entreprises allemandes qui vont participer au projet. Parmi elles, on trouve Siemens, Lycos Europe et une filiale du groupe de medias Bertelsmann, Empolis. Mais aussi, Deutsche Thomson-Brandt (filiale du français Thomson), MediaSec Technologies (sécurité et cryptage) et Grass Valley Germany (équipements pour la production vidéo). Enfin, le ministère évoque des partenaires scientifiques, le centre de recherche sur l’intelligence artificielle (DFKI), une antenne de l’institut de recherche Fraunhofer, l’université de Karlsruhe et l’école technique RWTH d’Aix-La-Chapelle. Le projet Quaero a été lancé par Jacques Chirac, lors d’un Conseil des ministres franco-allemand en avril 2005 à Reims. Du côté français, le projet est mené par l’opérateur historique, Thomson, ainsi que plusieurs petites entreprises de technologie, des instituts de recherche et des fournisseurs de contenu.
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