Navigateurs : Chrome numéro 2 sur le marché britannique

Chrome poursuit sa conquête du marché des navigateurs à l’échelle mondiale. Si Internet Explorer constitue la première cible de Google, Firefox se voit ravir sa place de numéro 2 en Angleterre.

Ce n’est pas vraiment une surprise. Chrome a encore gagné du terrain sur le marché des navigateurs. En juillet 2011, le navigateur de Google totalise 22,14 % du marché mondial contre 20,65 % un mois auparavant, selon StatCounter. Chrome ne prend donc pas de vacances, même en période estivale. La conquête de Google est par ailleurs désormais porté par les Chromebooks, des laptops légers, récemment commercialisés par Acer et Samsung, et équipés de Chrome OS, une version du navigateur qui fait office de système d’exploitation.

Une croissance qui s’effectue aux dépens de l’ensemble des concurrents, à l’exception de Safari. Le navigateur d’Apple reste stable en passant de 5,07 % en juin à 5,17 % en juillet. L’impact de Chrome porte principalement sur Internet Explorer. Si en interne, Microsoft se moque de la messagerie de Google, Redmond doit rire jaune face à l’inexorable croissance de Chrome. En un mois, IE perd plus d’un point en passant de 43,58 % à 42,45 %.

Firefox limite les dégâts
De son côté, Firefox limite les dégâts mais tombe néanmoins sous les 28 % à 27,95 % contre 28,34 % le mois précédent. Quant à Opera, malgré ses indéniables qualités, il reste sous les 2 % et descend à 1,66 % contre 1,74 % précédemment. La démission surprise de son fondateur n’a sûrement pas arrangé la situation.

A noter qu’en Europe la progression de Chrome est moins impressionnante qu’à l’échelle mondiale. Le navigateur de Mountain View frôle les 21 % de part (20,92 %) en juillet. Soit moins d’un point de hausse par rapport aux 20,96 % de juin. Chrome est particulièrement porté par le Royaume-Uni où il vient de prendre la place de numéro 2 avec 22,12 % derrière Internet Explorer (45,51 % toutes versions condondues) mais, pour la première fois, devant Firefox (21,65 %). Outre ses qualité en terme de vitesse et de sécurité du navigateur, la campagne télévisée diffusée en Angleterre, la première en Europe, a visiblement portée ses fruits. La question est désormais de savoir combien de temps Chrome mettra à dégommer le produit de Microsoft.

En France, Internet Explorer regagne du terrain
En France, le navigateur de Mozilla résiste mieux à la pression et se maintient plus ou moins d’un mois à l’autre en passant de 35,63 % à 35,45 %. Mais il reste la principale victime, avec Safari dans une moindre mesure, à l’hégémonie de Chrome dont la part s’établit désormais à 19,14 % en juillet (18,83 % en juin).

De son côté, Internet Explorer affiche l’exploit de regagner quelques miettes de ce terrain extrêmement concurrentiel : 36,58 % contre 36,54 % en juin. Une stabilité due à la bonne performance d’IE9 passé de 1,13 % à sa sortie (après une période de bêta test publique) à plus de 9 % aujourd’hui. Et ce malgré le handicap de Windows XP.

<p>Ce n’est pas vraiment une surprise. Chrome a encore gagné du terrain sur le marché des navigateurs. En juillet 2011, le navigateur de Google totalise 22,14&nbsp;% du marché mondial contre 20,65&nbsp;% un mois auparavant, selon <a target= »_blank » href= »https://gs.statcounter.com/ » rel= »nofollow »>StatCounter</a>. Chrome ne prend donc pas de vacances, même en période estivale. La conquête de Google est par ailleurs désormais porté par <a href= »https://www.silicon.fr/les-google-chromebooks-arrivent-une-bonne-affaire-pour-les-entreprises-53996.html »>les Chromebooks</a>, des laptop légers récemment commercialisés par Acer et Samsung et équipés de Chrome OS, une version du navigateur qui fait office de système d’exploitation.</p>

<p>Une croissance qui s’effectue aux dépens de l’ensemble des concurrents, à l’exception de Safari. Le navigateur d’Apple reste stable en passant de 5,07&nbsp;% en juin à 5,17&nbsp;% en juillet. L’impact de Chrome porte principalement sur Internet Explorer. Si en interne, <a href= »https://www.silicon.fr/microsoft-tacle-gmail-et-google-57625.html »>Microsoft se moque de la messagerie de Google</a>, Redmond doit rire jaune face à l’inexorable croissance de Chrome. En un mois, IE perd plus d’un point en passant de 43,58&nbsp;% à 42,45&nbsp;%. </p>

<p>Firefox limite les dégâts</p>

<p>De son côté, Firefox limite les dégâts mais tombe néanmoins sous les 28&nbsp;% à 27,95&nbsp;% contre 28,34&nbsp;% le mois précédent. Quant à Opera, malgré ses indéniables qualités, il reste sous les 2&nbsp;% et tombe à 1,66&nbsp;% contre 1,74&nbsp;% précédemment. La <a href= »https://www.silicon.fr/demission-surprise-du-fondateur-dopera-software-55092.html »>démission surprise de son fondateur</a> n’a sûrement pas arrangé la situation.</p>

<p>A noter qu'en Europe la progression de Chrome est moins impressionnante qu'à l'échelle mondiale. Le navigateur de Mountain View frôle les 21&nbsp;% de part (20,92&nbsp;%) en juillet. Soit moins d'un point de hausse par rapport aux 20,96&nbsp;% de juin. Chrome est particulièrement porté par le Royaume-Uni où il vient de prendre la place de numéro 2 avec 22,12&nbsp;% derrière Internet Explorer (45,51&nbsp;% toutes versions condondues) mais, pour la première fois, devant Firefox (21,65&nbsp;%). Outre ses qualité en terme de vitesse et de sécurité du navigateur, la campagne télévisée diffusée en Angleterre, la première en Europe, a visiblement portée ses fruits. La question est désormais de savoir combien de temps Chrome mettra à dégommer le produit de Microsoft.</p>

<p>En France, Internet Explorer regagne du terrain</p>

<p>En France, le navigateur de Mozilla résiste mieux à la pression et se maintient plus ou moins d'un mois à l'autre en passant de 35,63&nbsp;% à 35,45&nbsp;%. Mais il reste la principale victime, avec Safari dans une moindre mesure, à l'hégémonie de Chrome dont la part s'établit désormais à 19,14&nbsp;% en juillet (18,83&nbsp;% en juin). </p>

<p>De son côté, Internet Explorer affiche l'exploit de regagner quelques miettes de ce terrain extrêmement concurrentiel&nbsp;: 36,58&nbsp;% contre 36,54&nbsp;% en juin. Une stabilité due à la bonne performance d'IE9 passé de 1,13&nbsp;% à <a href="https://www.silicon.fr/top-depart-pour-internet-explorer-9-47478.html">sa sortie</a> (après une période de bêta test publique) à plus de 9&nbsp;% aujourd'hui. Et ce <a href="https://www.silicon.fr/bon-demarrage-dinternet-explorer-9-malgre-le-handicap-windows-xp-47751.html">malgré le handicap de Windows XP</a>.</p>