Applications, middleware, infrastructure : le barnum Cloud d’Oracle a posé ses valises cette semaine à Paris. Retour sur les moments clefs de cet événement.
C’est devant une salle bien remplie – 1 500 personnes selon Oracle – que Thomas Kurian est venu présenter le très vaste porte-feuille de solutions Cloud du second éditeur mondial. Un public mixte selon la société, constitué pour moitié d’informaticiens et pour moitié de directions métiers. Une mixité qui explique pourquoi le vice-président exécutif d’Oracle, qui a fait le déplacement à l’occasion de cet événement Cloud en France, a largement axé son discours sur les applications en mode Saas et la simplicité d’usage (Lire ERP dans le Cloud : Oracle y croit, mais se sent encore un peu seul). Laissant des considérations un peu moins glamours, comme l’intégration avec l’existant, de côté. Un point que n’ont toutefois pas oublié de soulever les DSI invités par l’éditeur lors d’une table ronde.
L’Oracle CloudWorld France 2014 en images
Oracle CloudWorld 2014
Image 6 of 6
6-jean-luc-galzi-schneider
Jean-Luc Galzi, Schneider-Electric : « Le Cloud se traduit notamment par des gains dans le dimensionnement des infrastructures, un sujet très complexe lors du démarrage des projets. Par contre, il s’accompagne de certains risques. Comme la difficulté à gérer la perception de la sécurité dans l’organisation, un sujet plus complexe que la sécurité proprement dite. Ou l‘intégration. Assembler un processus avec des composants Cloud et sur site complique les choses. Il faut s’assurer que les pièces du puzzle sont bien calibrées. Pour les sociétés globales, les temps de réponse constituent un autre point de vigilance. »
