Paris, hôtel Lutetia.- Sans oublier de parler du contexte de récession, Oracle a néanmoins choisi de garder le moral et de mettre les petits plats dans les grands.
Pour son ‘Executive CRM Summit’, le géant du traitement des data d’entreprise n’a pas lésiné sur les moyens. Deux jours de congrès dans un cadre prestigieux pour mettre en avant le « CRM 2.0 » -allusion, bien sûr, au Web 2.0.
Charles Philips, president, a fait le déplacement. Moins médiatique que son tonitruant patron Larry Ellison, auquel il rapporte (nonobstant son titre américain, à ne pas confondre avec celui de chairman, président du conseil d’admistration), il est membre du comité de direction et a des responsabilités opérationnelles. Mais Charles Philips a surtout l’avantage de présenter un tout autre visage du top-management d’Oracle.
Tandis que Larry Ellison était encore il y a peu de temps aux prises avec les autorités américaines (suspecté de destruction de preuves), C. Philips, arrivé en 2003, fait plutôt partie des nouveaux faucons de l’actuelle génération Barrack Obama -auquel il ressemble étonnament, comme tout le monde en convenait ce 20 octobre…
( A suivre )
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