« La puissance de calcul supplémentaire qu’apporte Pangea III contribue à renforcer l’excellence opérationnelle de Total. Nous pouvons ainsi mieux maîtriser les risques géologiques en phase d’exploration et de développement, accélérer nos projets et accroître la valeur de nos actifs en optimisant l’exploitation de nos champs, tout cela à moindre coût », affirme Arnaud Breuillac, directeur général Exploration-Production de Total.
Conçu sur une architecture IBM Power 9, Pangea III est le supercalculateur industriel le plus puissant selon le groupe énergétique. » Il aidera Total à localiser plus précisément de nouvelles ressources dans le sous-sol et à mieux évaluer les opportunités de revenus associées. » explique un communiqué.
Sa consommation électrique est aussi ramenée à 1,5 mégawatts contre 4,5 pour ses prédécesseurs, Pangea I et II.
Concrètement, Total a besoin de grandes capacités de calcul pour exploiter l’immense quantité de données sismiques, recuellies au cours de ces périodes d’exploration, afin de choisir ses sites de production en disposant d’une meilleure qualité d’imagerie, développer de nouveaux modèles de production et gérer ses actifs.
Après avoir essaimé dans 145 pays, la communauté de femmes de la tech Women Who…
Les voix du CISPE et des associations d'utilisateurs s'accordent face à Broadcom et à ses…
Bonnes pratiques, indicateurs, prestataires... Aperçu de quelques arbitrages que le comité d'organisation de Paris 2024…
Le 31 mars 2023, le PTCC (Programme de transfert au Campus Cyber) était officiellement lancé.…
Nicolas Gour, DSI du groupe Worldline, explique comment l’opérateur de paiement fait évoluer sa gouvernance…
Comme avant la Coupe du monde de rugby, l'ANSSI dresse un état des lieux de…