Performance applicative : New Relic One cible toujours plus les DevOps

Avec la plateforme One orientée « entités », New Relic, l’éditeur du suivi de performance applicative, cible DevOps et environnements IT complexes.

L’éditeur logiciel américain New Relic a lancé New Relic One. L’offre est une déclinaison de sa plateforme de suivi et gestion de la performance applicative (APM).

New Relic One est destinée aux équipes DevOps évoluant dans des environnements hybrides cloud et complexes (conteneurs, microservices…). Elle leur fournit « une vue connectée et axée sur les entités », selon les promoteurs de l’offre.

Une entité est définie par le fournisseur comme « une source de données à surveiller ».

Aujourd’hui, les équipes Devops peuvent avoir « une vision fragmentée de leurs environnements complexes. Et se trouver en difficultés en raison de données associées à l’expérience client stockées entre divers systèmes, tableaux de bord et organisations », a déclaré Lew Cirne, fondateur et CEO de New Relic.

Pour réduire cette fragmentation, New relic One est « capable d’unifier toutes les données client réparties sur plusieurs comptes. Les équipes bénéficient ainsi d’une vision globale sur l’ensemble des relations et dépendances applicatives », a ajouté le dirigeant.

AWS Lambda

Voici les principales nouveautés mises en exergue par l’éditeur :

– Monitoring pour AWS Lambda (calcul sans serveur/serverless)
– Explorateur de clusters Kubernetes
– Recherche globale de traçage distribué

New Relic prévoit aussi d’intégrer à One des solutions AIOps (Artificial Intelligence for IT Operations, intelligence artificielle pour la production IT) et de surveillance des journaux d’événements (logs) d’ici la fin de l’année 2019.

Le temps presse…

« Les équipes [DevOps] doivent maintenant gérer des milliers, voire des millions d’éléments interdépendants. Et ce à travers différents environnements informatiques », a précisé le CEO de New Relic dans un billet de blog.

Il ne s’agit pas seulement de traiter « un grand nombre de microservices, mais aussi des conteneurs, du serverless comme AWS Lambda, des infrastructures sur site (on-premise) traditionnels ou des environnements de cloud public, privé, multicloud ou encore hybride. »

(crédit photo : Negative Space via Pexels)