A en croire un communiqué de Microsoft, les rapports concernant les consommateurs avancent que nombre de «faux» logiciels contiennent des malwares. David Finn, chef du département anti-piratage de Microsoft, estime que les consommateurs prennent beaucoup de risques en installant de tels logiciels.
Au motif de lutter contre les ravages des menaces venues du Web, Microsoft a donc lancé la journée d’action du consommateur (Consumer Action Day) afin de mettre le projecteur sur certains points de sécurité. Le responsable estime que durant les deux dernières années, les logiciels contrefaits contenant des malwares ont doublé en nombre. «Environ 150.000 d’entre eux auraient été recensés »,estime le responsable. Il poursuit : « Il faut savoir que Microsoft peut aider n’importe quel consommateur à s’en sortir. »
Le responsable entre dans les détails : « Pensez qu’un syndicat criminel qui fabrique des logiciels contrefaits rajoute des lignes de code afin de compromettre la sécurité de votre ordinateur mais aussi va pouvoir dérober des informations personnelles comme votre identité ». Un double risque donc avec des conséquences potentielles lourdes : installation d’un virus, un vol d’identité, une perte de temps et de productivité, perte de commerce ou même de données financières.
Dès lors, les services de Microsoft se disent capables de traquer les pirates qui éditent ces faux-logiciels grâce aux lois sur la contrefaçon existant dans différents pays. Avec l’aide des victimes alors invitées à fournir les preuves nécessaires pour compléter dossiers et enquêtes.
En guise de conclusion, David Finn explique la démarche à suivre en cas d’infection. Il précise : «En cas d’installation d’un logiciel qui fonctionne bizarrement, il y a un site sur lequel il est possible d’expliquer son problème. C’est facile, gratuit, volontaire. » Un outil utile pour ne pas seulement se fier aux apparences.
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