Press release

Agence spatiale luxembourgeoise : l’accord quadripartite de coopération spatiale franco-luxembourgeois se concentre sur l’exploration et les ressources spatiales

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Le CNES, l’Agence spatiale luxembourgeoise (LSA), le Centre d’innovation européen pour les ressources spatiales au Luxembourg (ESRIC) et Air Liquide ont signé une lettre d’intention (LDI) affirmant leur engagement visant à collaborer au développement d’activités de recherche et technologie (R&T). Dans les prochains mois, les quatre partenaires poursuivront leurs discussions portant sur des projets de recherche qui englobent l’exploration spatiale et l’utilisation des ressources in situ (ISRU).

Les précédentes discussions multilatérales entre les 4 partenaires ont confirmé le même intérêt à collaborer dans des domaines tels que la production et le stockage in situ d’oxygène et d’hydrogène, la production et le stockage d’énergie hydrogène dans l’espace et sur le sol lunaire, les technologies de survie et le ravitaillement des satellites et les lanceurs de mise en orbite.

« Nous pensons que cette nouvelle collaboration entre la France et le Luxembourg sera déterminante pour le développement de notre centre et nous sommes très heureux de travailler avec des acteurs tels que le CNES et Air Liquide. » a déclaré Mathias Link, directeur ad intérim de l’ESRIC.

Basé au Luxembourg, l’ESRIC est unique en son genre et se concentre sur l’utilisation des ressources spatiales dans le domaine de l’exploration humaine et robotique. Le centre est pris en charge par la LSA et l’Institut luxembourgeois des sciences et de la technologie (LIST), ainsi que par l’Agence spatiale européenne (ESA) au titre de partenaire stratégique.

Le CNES, la LSA, l'ESRIC et Air Liquide sont en discussion pour former, d'ici 2022, des équipes conjointes qui collaboreront sur des projets de recherche concrets visant à développer des technologies essentielles à la production et à l'utilisation in situ des gaz nécessaires rendant l'exploration spatiale plus viable à long terme.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.