Press release

Des majors internationales investissent 170 millions de NOK dans la société norvégienne Mem-Tech, spécialisée dans l’hydrogène.

0
Sponsorisé par businesswire

AP Ventures, Yara Growth Ventures, Shell Ventures, Saudi Aramco Energy Ventures et SINTEF Venture placent leur confiance et leurs investissements dans Hydrogen Mem-Tech (HMT). La technologie de membrane au palladium de HMT permet de séparer l’hydrogène du gaz biologique et naturel.

« Nous sommes fiers et vraiment très touchés d’avoir obtenu ce qui sera l’un des plus importants investissements en capital dans une entreprise technologique norvégienne en phase de démarrage ces dernières années », déclare Thomas Reinertsen, CEO de Hydrogen Mem-Tech.

L’entreprise a mis au point une technologie permettant de produire de l’hydrogène propre à partir du gaz biologique et naturel, tout en captant le CO2 et d’autres gaz résiduels pour les utiliser ou les séquestrer. La technologie de la membrane au palladium de HMT est le fruit de plus de 20 ans de recherche de SINTEF, et elle a été testée et pilotée de manière approfondie pendant plusieurs années.

« Nous sommes très heureux d’avoir trouvé des investisseurs dotés d’une solide expertise industrielle et financière. Je suis certain que nos nouveaux investisseurs contribueront au déploiement de notre technologie dans le monde », a déclaré Thor Egil Five, président du conseil d’administration d’Hydrogen Mem-Tech.

« Nous sommes très heureux d’avoir dirigé ce tour de table de financement pour Hydrogen Mem-Tech avec un solide groupe de co-investisseurs. En tant qu’investisseur bien implanté dans la chaîne de valeur de l’hydrogène, nous comprenons le potentiel passionnant de cette technologie qui ouvre des possibilités de décarbonisation dans les secteurs industriels et mobiles où la réduction est difficile », a déclaré Andrew Hinkly, associé directeur chez AP Ventures.

La société d’investissement de Yara orientées vers les startups, « Yara Growth Ventures », fait partie des nouveaux investisseurs.

« Nous pensons que cette technologie prometteuse développée en Norvège contribuera à susciter une nouvelle industrie norvégienne et à augmenter l’utilisation de l’hydrogène et de l’ammoniac. Il s’agit de l’un des nombreux investissements que nous comptons réaliser en Norvège », déclare Stian Nygaard, directeur des investissements chez Yara Growth Ventures.

« Notre entreprise a pour ambition d'accélérer l'économie de l'hydrogène. La technologie de HMT permet l'adoption de l'hydrogène et de l'ammoniac et contribue au progrès dont la société a besoin pour offrir un avenir énergétique plus propre. Nous sommes très heureux de les aider à franchir les prochaines étapes et à explorer les nombreuses applications potentielles dans tous les secteurs d'activité », a déclaré Bilal Ahmad, Venture Principal chez Shell Ventures.

« Pour Saudi Aramco Energy Ventures, cet investissement dans HMT est éminemment stratégique. Les technologies de l'hydrogène et de la séquestration du carbone sont de la plus haute importance pour Aramco, et nous nous réjouissons de collaborer avec HMT en utilisant leurs membranes uniques de séparation des gaz avec tous les avantages qu'elles apportent », déclare Richard Riggs, directeur des investissements chez Saudi Aramco Energy Ventures.

« Nous sommes très heureux de pouvoir nous associer à ce groupe d'investisseurs en capital-risque très respectés et hautement qualifiés, ce qui contribuera au succès commercial de HMT. La technologie sous-jacente est sous licence de SINTEF et notre investissement dans HMT soutient notre principale mission : la technologie au service d'une meilleure société, au sein de laquelle nous investissons dans des entreprises dotées de technologies SINTEF », déclare Asle Jostein Hovda, directeur des investissements de SINTEF Venture.

En savoir plus sur : https://hydrogen-mem-tech.com/

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.