Le rachat de Business Objects par SAP a des conséquences profondes sur le département R&D du français. Le français soit désormais rationaliser cette activité stratégique. Comme l’indique Les Echos, suite au rachat, la R&D de BO est passée de 1.461 personnes à 2.500 salariés répartis sur 35 sites dans le monde. « Nous allons réduire le nombre de nos implantations », explique Hervé Couturier responsable des activités de développement de Business Objects au sein du groupe SAP sans en dire plus.
Les objectifs de cette manoeuvre sont clairs : améliorer la marge d’exploitation du français. « Cette année, nous tablons sur une augmentation des coûts en R&D de Business Objects de 3 à 4 %, pour une hausse des ventes de 15 à 20 % », explique au quotidien Hervé Couturier.
Outre la rationalisation des activités, BO pourrait être tenté par des délocalisations vers des pays à bas coûts. Un piège selon le responsable. « Les salaires augmentent de 15 à 20 % en Inde et les taux de rotation des effectifs sont de plus de 15 % contre de 3 à 5 % en Europe de l’Ouest. La perte de productivité peut être facilement de 20 à 30 % lors d’une délocalisation dans ces pays ».
Il s’agira également d’intégrer deux cultures de la R&D : centralisée chez SAP, privilégiant la libre initiative chez Business Objects.
Diverses tendances animant l'univers des LLM transparaissent en filigrane du discours de Meta sur Llama…
Mandiant a attribué un APT à Sandworm, considéré comme le principal groupe cybercriminel à la…
Les deux startup proposent un connecteur entre la platefome OpenCTI de Filigran et l’EDR de…
Des chercheurs ont mis des agents LLM à l'épreuve dans la détection et l'exploitation de…
Dans la lignée de Signal, iMessage intègre une couche de chiffrement post-quantique.
Douze fournisseurs sont classés dans le dernier Magic Quadrant des infrastructures LAN.