Lors de lancement de RHEV 3.0, la nouvelle édition de l’offre de virtualisation de Red Hat, de nombreux soutiens ont pu être dénombrés : BMC, Cisco, Fujitsu, Hitachi, HP, Intel, Nec, NetApp, SGI… Comment ce produit arrive-t-il à profiter d’une telle dynamique, à peine plus de deux ans après sa création ?
Pour s’imposer, Red Hat a mis en œuvre plusieurs techniques, comme nous l’explique Hervé Lemaitre, responsable avant-vente grands comptes chez Red Hat (notre photo). « Nous avons travaillé sur plusieurs axes. Le premier est la création d’un écosystème de partenaires, afin que la crédibilité ne vienne pas seulement de Red Hat, mais de l’ensemble des acteurs actifs dans le secteur de la virtualisation. » Plus de 200 entreprises se sont ainsi placées sous la bannière de l’Open Virtualization Alliance, dont le but est de promouvoir KVM.
« Nous avons également créé des API ouvertes, qui nous ont permis de tisser des liens avec les solutions tierces et les offres des ISV. Enfin, nous cherchons à créer une communauté autour de cette offre. C’est le but du projet oVirt, au sein duquel nous avons reversé le code des produits issus du rachat de Qumranet. »
Notez que certains logiciels ont été complètement réécrits à l’occasion. C’est ainsi le cas de l’outil de gestion RHEV-M, une offre écrite en Java et fonctionnant sous le serveur d’applications de la firme, JBoss. In fine, RHEV adopte dorénavant une approche 100 % open source, avec des produits communautaires et commerciaux évoluant en parallèle. Une technique que l’éditeur américain emploie pour l’ensemble de ses produits.
Crédit photo : © Red Hat
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