Salon Sécurité Stockage: Mirapoint sécurise l’archivage légal des messages

L’archivage légal des messages, en entreprise, est loin d’être résolu
partout. Mirapoint, pourtant discret, gagne du terrain dans les grandes
entreprises, car ses solutions assurent tout le cycle de vie d’un e-mail

« Nous sommes le seul fournisseur qui gère le cycle complet d’un message électronique »,affirme tranquillement François Prouvost, dg de Mirapoint Europe du Sud.

Avant de tenter de le contredire, il vous démontre que ses clients -de solides références en grands comptes- n’ont pas pu se tromper… Les solutions Mirapoint sont structurées, il est vrai, en trois volets logiquement complémentaires:

-le filtrage anti-virus et anti-spam,

-la protection des serveurs d’annuaires

– l’archivage légal

« Le défi que nous nous sommes fixés, c’est de filtrer 100% des ‘spams’ avec quasiment pas de ‘faux positifs’ , et en temps réel. C’est autre chose que de s’en remettre à une base de réputation pour les signatures de spams, car en trois semaines de temps à peine, ces bases sont obsolètes », souligne F. Prouvost.

« Notre base de réputation est alimentée par des sondes placées chez de grands ‘carriers’ télécoms/ Internet. Et en deux minutes tout au plus, nous pouvons déterminer, au niveau mondial, si certains messages sont des ‘spams’. Il ne reste que 2% de documents douteux, qui vont en ‘quarantaine’. « 

Ce filtrage porte un nom chez Mirapoint, MailHurdle. Il procède à un contrôle de l’expéditeur (‘sender’): « Dans 80% des cas, les e-mails sont bloqués. Les autres 20% sont encore analysés via RPD (rapid pattern detection), pour détection de signatures de ‘spams’. L’opération n’excède pas 2 mn« .

Parmi les références de Mirapoint figurent essentiellement des grands comptes comme le groupe Bosch où 125.000 postes clients sont ainsi quotidiennement protégés.

Le contrat imposant le plus récent n’est autre que la NHS, ou Sécurité sociale du Royaume-Unis: un marché d’1,5 million de boîtes aux lettres électroniques.

« Ce que nous reconnaissent les entreprises, c’est notre capacité à traiter le cycle complet de la messagerie, avec un superviseur mondial ». Mais également un coût global par utilisateur bien négocié: il serait de 6 euros par mois, là où Lotus Notes (IBM) coûterait 28 euros et Microsoft 22 euros…