Serveurs d’applications: Oracle riposte à BEA

Selon une récente étude de FactPoint Group, Oracle, tout comme IBM, serait en train de tailler des croupières à BEA…

Une étude sondage vient de se pencher sur les choix des entreprises en matière de serveur d’applications. Face au défi lancé par le WebLogic Server de BEA, que pèse encore Oracle9i Application Server? Premier résultat de l’enquête menée auprès de utilisateurs: Oracle resterait difficilement battable. Les personnes interrogées invoquent quatre raisons pour préférer ce dernier: -la plate-forme « middleware » d’Oracle leur paraît correctement intégrée. BEA ne propose qu’un noyau serveur, tandis qu’Oracle inclut aussi des services portail, répertoire, sécurité, « caching » et un module de « business intelligence »; -un meilleur TCO (coût à l’usage): à une époque où la moindre dépense se doit d’être justifiée, payer moins en termes de licences et de frais de support constitue un argument de poids. Une fois encore, Oracle marque le point du fait de son intégration ; – des tests de performances tant en laboratoire qu’en grandeur réelle accordent également leur faveur au concurrent de BEA, ce qui a, d’ailleurs, une influence connexe sur le TCO puisqu’à performances égales, Oracle peut fonctionner sur un matériel un peu moins sophistiqué que celui nécessité par BEA ; – enfin, les possibilités de gérer la ou les bases seraient bien supérieures à celles de BEA. Au fait, quelle sera la réponse de BEA?