Oracle vient de livrer la mouture définitive de Solaris 11.2, son Unix propriétaire hérité du rachat de Sun Microsystems en 2009, accessible pour les serveurs x86 et Sparc. Cette solution se veut la plate-forme de référence pour les applications de la firme, à commencer par Java et l’Oracle Database.
Solaris 11.2 met l’accent sur le cloud computing, avec l’intégration de la pile open source OpenStack (voir « Cloud : Oracle se prend d’affection pour OpenStack »), le support du SDN (software-defined networking) et bien entendu les techniques de virtualisation et de conteneurs qui ont fait le succès de Solaris par le passé.
Dans le secteur des conteneurs, nous notons la possibilité d’utiliser comme base différents niveaux de correctifs du noyau. Plus de détails concernant les améliorations apportées aux conteneurs Solaris sont présents dans notre précédent article « Oracle Solaris 11.2 adopte OpenStack ».
La sortie de Solaris 11.2 s’accompagne de celle de Solaris Cluster 4.2. Cette offre permet d’apporter de la haute disponibilité et des fonctions de reprise d’activité après incident. Un outil dédié principalement aux applications critiques et adapté spécifiquement à plus d’une trentaine de solutions de l’éditeur américain (dont Oracle Database 12c, voir « Oracle Database 12c, une base de données pour le cloud »).
Voir aussi
Quiz Silicon.fr – La saga Oracle
Les deux startup proposent un connecteur entre la platefome OpenCTI de Filigran et l’EDR de…
Des chercheurs ont mis des agents LLM à l'épreuve dans la détection et l'exploitation de…
Dans la lignée de Signal, iMessage intègre une couche de chiffrement post-quantique.
Douze fournisseurs sont classés dans le dernier Magic Quadrant des infrastructures LAN.
Commvault s'offre Appranix, éditeur d'une plateforme cloud de protection et de restauration des applications.
Intel se greffe au projet OPEA OPEA (Open Enterprise Platform for AI) et y pousse…