Nous vous avons présenté l’offre de stockage froid d’Online la semaine passée, C14. Voir à ce propos notre précédent article « Avec C14, Online s’invite dans le stockage Cloud longue durée ».
Bonne nouvelle, C14 est gratuit pendant juillet et août. De quoi se faire la main sur cette nouvelle technologie. Voici quelques rappels concernant le mode d’utilisation de cette solution :
Les opérations de désarchivage, destruction et vérification sont elles aussi facturées 0,01 euro HT le gigaoctet traité en mode standard ; 0,02 euros HT en mode entreprise. Il est curieux qu’Online facture la destruction des données… Concernant le désarchivage, la procédure est identique à l’archivage, les données stockées étant mises à disposition de l’utilisateur via une boite de retrait.
À noter : il est possible de créer autant d’archives que souhaité, la taille maximale de chacune (et donc de chaque boite de dépôt) étant de 40 To.
Les informations sont chiffrées en AES-256-CBC, seul l’utilisateur possédant la clé de chiffrement. Toutefois, lors du transfert vers la boite de dépôt, ou depuis la boite de retrait, les données sont en clair. Il peut donc être bon de les chiffrer une première fois avant l’envoi vers C14. Le niveau de confidentialité sera alors parfait, personne, ni chez Online, ni à l’extérieur, ne pouvant alors lire la version décryptée des données stockées sur C14.
À lire aussi :
De la RAM à la bande : les 4 strates du stockage
Red Hat révise sa solution de stockage objet Ceph
Stockage objet : Scality lance S3 Server pour les développeurs
Silicon et KPMG lancent Trends of IT 2024, une étude co-construite avec les managers IT…
Avec son Pack cybersécurité lancé au Forum InCyber 2024, Docaposte tend une perche aux PME.…
Quels sont les impacts immédiats de l'IA générative sur la cybersécurité ? Comment le contexte…
Un éditeur attire l'attention sur des attaques exploitant l'absence d'autorisation dans une API du framework…
Après un premier financement en septembre 2023, Amazon a débloquer le reste de l'enveloppe qu'il…
D'Alpine Linux à XPipe, voic les dernières entrées au SILL (Socle interministériel de logiciels libres).