Stratus : serveurs haute disponibilité, ‘Nous n’avons plus de concurrence’

Stratus récolte le fruit de près de 30 années de développements de serveurs
haute disponibilité à tolérance de panne, un positionnement unique sur un marché
où il se retrouve quasiment seul !

Pouvez-vous nous décrire votre offre ?

Une machine est composée de deux lames qui exécutent la même instruction au même moment. Il n’y a donc pas de basculement. Il n’est pas besoin non plus besoin de modifier les applications.

Si l’on prend l’exemple d’un cluster, il faut deux serveurs, deux systèmes d’exploitation, deux applications, deux licences, ce qui d’ailleurs multiplie également pas deux le coût de certification et de supervision. Et en cas de panne, il faut basculer. Pas chez Stratus.

Notre organisation est centrée sur la disponibilité du client. Si celui-ci est arrêté, notre réactivité est immédiate. Notre système fait lui même l’appel au plus haut niveau de compétence. Chez nous, il n’y a pas de contrat d’après-vente ! D’ailleurs, neuf alertes sur dix ne nécessitent pas d’intervention. En revanche, nos ingénieurs analysent tous les incidents.

C’est là notre seconde caractéristique unique : en cas de panne, nous analysons et nous fournissons au client la cause du problème. Nous prenons en charge le support de l’ensemble de la plate-forme, du matériel au système d’exploitation.

Allez-vous continuer de faire évoluer votre OS propriétaires ?

Il ne l’est plus réellement, depuis que nous proposons Open VOS, notre OS avec une approche open source et communautaire. Mais notre stratégie est bien d’évoluer vers des standards.

Parlez-nous de votre écosystème…

Côté éditeurs, nos serveurs font l’objet de certifications. C’est le cas par exemple avec SAP.

Côté partenaires, les intégrateurs nous permettent d’accéder à une approche plus verticale. Pour eux, nos produits sont plus simples et leurs offrent la possibilité de s’engager sur un taux de disponibilité.

Enfin, côté PME, nous recrutons des partenaires régionaux avec un très haut niveau de compétences sur les infrastructures.

Et comment voyez-vous l’avenir ?

Nous allons tout d’abord continuer de satisfaire nos grand clients propriétaires avec un plan d’évolution à long terme. Nous allons ensuite continuer de recruter des partenaires verticaux. Et enfin, nous allons monter en charge sur le ‘mid market‘, avec en particulier des marchés comme la santé et les hôpitaux.

En tout cas, pour les clients qui ont des problèmes de disponibilité, nous n’avons plus de concurrence…