Succession en douceur à la tête d’Unilog

Le président et fondateur de la SSII doit quitter son poste au plus tard en mars 2007

Surtout pas de vagues. Contrairement à d’autres entreprises du secteur où les changements de présidence sont vécus comme des drames, Unilog veut une transition en douceur. Le départ en mars 2007 de Gérard Philippot, fondateur et président de la SSII doit être un

« non événement ». La première étape de la succession a été franchies avec la nomination au poste de vice-président de Didier Herrmann. L’adoubement du dauphin doit empêcher tout remous. De son côté, Gérard Philippot ne s’accrochera pas. « J’ai toujours annoncé que je passerai la main au plus tard le 2 mars 2007 à 18 heures », a-t-il expliqué à la Tribune. A cette date, l’homme aura 65 ans. Didier Herrmann est un homme du sérail. On ne doit donc pas s’attendre à des bouleversements dans la SSII. Il est en charge de l’international depuis 2004 et a contribué à redresser l’activité en Grande-Bretagne et en Allemagne. La Tribune rappelle qu’Unilog s’est fixé comme objectif de parvenir a entrer dans le Top 5 des SSII européennes d’ici 2008. Actuellement, le groupe se situe à la 22e place.