Pour répondre aux besoins techniques actuels et futurs des entreprises, les solutions Red Hat façonnent une vision ouverte et collaborative de l’avenir «Kubernetes-native»

Pour répondre aux besoins techniques actuels et futurs des entreprises, les solutions Red Hat façonnent une vision ouverte et collaborative de l’avenir «Kubernetes-native»
Le cloud hybride permet de fluidifier la circulation des applications et des idées en entreprise et dans leur écosystème.
La quatrième révolution industrielle l’avait annoncé, mais la pandémie de COVID-19 l’a confirmé : le changement est devenu un phénomène inévitable. Pour pouvoir constamment s’adapter, tout en continuant d’innover en toute sécurité, les organisations ont besoin d’un environnement informatique flexible, rapide et évolutif : un cloud hybride, ouvert et automatisé.
Avec OpenShift 4.5, Red Hat veut briser les silos entre applications s’exécutant sur des machines virtuelles et celles basées sur des conteneurs dans le cloud.
Porter les services cloud managés de SAP dans les datacenters de clients et le support associé via Red Hat OpenShift, c’est l’objectif de ce partenariat.
En entreprise, les systèmes d’exploitation Linux se répartissent en deux camps : les offres des grands éditeurs, Canonical, Red Hat et SUSE ; les solutions communautaires, comme CentOS, Debian et Ubuntu.
Ils sont le fer de lance du mouvement DevOps et une approche de choix pour les applications Cloud natives. Ce sont les microservices, qui effectuent une percée en entreprise. Ils s’accompagnent d’une montée des conteneurs, un mode de déploiement qui leur est particulièrement bien adapté.
Entre ESXi, Hyper-V, XenServer et KVM, une large gamme d’hyperviseurs est accessible. Quels sont leurs avantages respectifs et lequel choisir ? HPE partage avec nous sa vision du marché.