Comme Donald Trump, vous n’avez pas le temps regarder la télé ? Alors lisez nos télégrammes du soir…

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Même quand le gouvernement décide de fermer 17 réacteurs nucléaires, la rédaction de Silicon.fr n'en assure pas moins la production des télégrammes du soir.
L’autorité de certification gratuite, Let’s Encrypt a annoncé la disponibilité au début 2018 de certificats génériques. Un seul certificat sera valable pour plusieurs sites d’un domaine.
Finaliste du trophée start-up du Forum Numérique organisé par le CXP et Silicon, Keeex permet de certifier l’intégrité des documents et données grâce à la Blockchain. Une approche plus souple que les classiques certificats.
Implémenter une sécurité en profondeur dans une architecture en microservices est tout sauf une sinécure. Car le déploiement de certificats TLS associés aux conteneurs se heurte à des difficultés techniques. Netflix explique comment il ...
Un expert pointe le détournement des certificats gratuits de Let’s Encrypt par les sites de phishing. De quoi donner aux utilisateurs l’illusion de la sécurité.
Google a des doutes sur la sécurité des certificats émis par Symantec ces dernières années. Il a décidé de prendre des mesures.
Avec la démonstration pratique d’attaques par collision contre SHA-1, Google espère réveiller l’industrie et la pousser à mettre enfin à la retraite l’algorithme. D’autant que les premiers éléments dévoilés par Mountain View ont déjà d ...
Poussé par les éditeurs de navigateur ou par des initiatives comme Let’s Encrypt, le HTTPS représente désormais plus de la moitié du trafic Web.
En devenant une autorité de certification racine, Google fait un pas de plus afin de favoriser l'adoption du HTTPS.
Une nouvelle fois, Symantec est soupçonné d’avoir pris des libertés avec les règles d’émission de certificats TLS.
Les autorités de certification devront se soumettre à un système communautaire d'audit de certificats. À défaut, les sites de leurs clients seront jugés non fiables par Google Chrome.
La généralisation des certificats gratuits, comme ceux fournis par Let’s Encrypt, provoque une poussée des flux HTTPS. En France, Online et OVH intègrent ainsi le chiffrement SSL à leurs offres d’hébergement.
Des sites ont été signalés comme non-sécurisés, et certains ont été rendus inaccessibles jeudi, à la suite d'une erreur de révocation de certificats contrôlés par GlobalSign.
Pour la justice, les chambres de commerce et d'industrie (CCI) de France doivent cesser de commercialiser les certificats de signature électronique de ChamberSign. Les CCI ont fait appel.
Partenaire de Let’s Encrypt, OVH vient de lancer officiellement son offre gratuite de certificats SSL pour les clients hébergement web.
2,4 millions de domaines web sont maintenant protégés par un certificat SSL Let’s Encrypt. Un franc succès pour cette initiative visant à basculer le web en HTTPS.
Placé en fin de semaine dernière sur une liste de 20 autorités de certification vues comme insuffisamment sûres par Microsoft, le Français Certigna en est sorti rapidement. Et évoque un bug administratif pour expliquer cet épisode.
Dès janvier, Microsoft ne reconnaîtra plus comme sûres une vingtaine d’autorités de certification dans le monde, dont le Français Certigna. Ce dernier parle d’un bug administratif qu’il espère régler très vite.
Une nouvelle fois, Google tacle la sécurité de certains certificats émis par Symantec. Et annonce qu’il va considérer les services sécurisés par ces outils de chiffrement comme non sûrs.
Un outil lié à l’offre Let’s Encrypt permet d’automatiser l’obtention et l’installation d’un certificat SSL sur un serveur web Apache.
Microsoft met à jour ses logiciels de sécurité pour identifier et supprimer le certificat vulnérable eDellRoot présent sur certaines machines de Dell.
Des machines Dell sont victimes d'un nouveau certificat, DSDTestProvider, entrainant potentiellement une faille de sécurité.
Fini de rire ! Google semble déterminé à user de son poids pour pousser les autorités de certification à plus de rigueur. Symantec en fait les frais : l’éditeur est sommé de se plier à une série d’exigences de Mountain View.
Considéré comme friable, l’algorithme SHA-1 va être progressivement retiré dans le courant de 2016. Conséquence : des dizaines de millions d’utilisateurs, employant des technologies dépassées, ne pourront plus accéder aux sites HTTPS.
L’autorité de certification Let’s Encrypt est maintenant reconnue par la plupart des navigateurs Web : Chrome, Firefox, Internet Explorer, etc.
Un des algorithmes centraux utilisés pour le chiffrement sur Internet, SHA-1, n'est plus suffisamment sécurisé contre des attaques par force brute, estiment des chercheurs. Conséquence possible : la création de faux certificats mettant ...
Des noms de domaines appartenant à Google auraient été exposés par des certificats frauduleux émis via un tiers mandaté par le registre chinois CNNIC. Une affaire qui n'est pas sans rappeler celle impliquant l'Anssi française.
Oracle vient de lancer un service baptisé Key Vault qui aide les responsables informatiques de gérer plus facilement les clés de chiffrement et les différents identifiants dans le datacenter.
Des connexions web « sécurisées » s'appuient sur des certificats contrefaits. Leur pourcentage est faible mais préoccupant, observent des chercheurs de Carnegie Mellon. En cause : le piratage des clés de chiffrement et les pressions ex ...