Selon une enquête Syntec Numérique/IDC, 6 collectivités sur 10 consacrent moins de 10% de leur budget IT à des projets Smart City (ville intelligente).

Selon une enquête Syntec Numérique/IDC, 6 collectivités sur 10 consacrent moins de 10% de leur budget IT à des projets Smart City (ville intelligente).
Pour Altice-SFR, déployer son propre réseau très haut débit sur tout le territoire relève d’une stratégie économique sensée. Ses dirigeants s’expliquent.
Mis à la disposition des élus de régions, France Mobile permet de faire remonter les problème de connectivité mobile des territoires.
La Commission européenne a validé le plan France THD et les subventions des réseaux d’initiative publique pour déployer le très haut débit dans les zones rurales.
La généralisation de l’ouverture des données publiques est une ambition inscrite dans la loi. Mais de fortes disparités entre collectivités persistent, selon un rapport remis à Axelle Lemaire et Estelle Grelier.
La start-up OpenDataSoft promeut ses services auprès des collectivités à travers la génération automatique de 5 000 portails Open Data en accès libre. Pour les personnaliser, il faudra payer.
Pour Syntec Numérique, la circulaire visant à imposer le Cloud souverain aux collectivités territoriales ne respecte ni le droit des marchés publics, ni le droit européen.
Faute d’apporter la preuve de l’originalité de son logiciel de gestion d’archives, la société Anaphore qui avait assigné le Conseil général de l’Eure en contrefaçon, n’a pas obtenu gain de cause.
Les collectivités locales pourront assurer elles-mêmes le déploiement des infrastructures mobiles pour accueillir les opérateurs.
La Banque européenne d’investissement apporte 750 millions d’euros aux collectivités locales dans le cadre du Plan France Très Haut Débit.
Plan très haut débit, accès des entreprises à la fibre, rôles des collectivités, montée en débits… Pascal Emond, directeur commercial de l’opérateur d’infrastructure Covage partage pour Silicon.fr sa vision du marché.
A l’occasion d’un colloque, la FNCCR a fait part de ses inquiétudes sur l’évolution du numérique en France. Au menu : impact de la réforme territoriale, concentration du secteur des télécoms et volonté de créer un établissement public national du numérique.
Construire un service gérant l’accueil et le traitement de tous types de demandes émanant des administrés. C’est le pari un peu fou relevé par la Mairie de Vincennes. Une première en France qui suscite la curiosité de bien d’autres collectivités.
La Smart City a beau être à l’origine un concept marketing, décliné pour la première fois en 2004 par IBM, elle masque des enjeux bien réels. En prise avec les défis actuels de l’espace urbain. La Smart City vise à optimiser l’utilisation des réseaux d’énergie (électricité, gaz), des ressources naturelles, des moyens de communication traditionnelle (transports multimodaux) et à gérer les données issues des capteurs électroniques, des échanges entre les habitants et avec l’administration, pour améliorer la qualité de la vie des habitants. Bien entendu, la nature et le périmètre des projets dépendent de la taille des collectivités locales qui les mettent en œuvre. Paris, l’île-de-France ou le Grand Lyon développent des programmes importants, en matière de transport ou de stationnement alors que des communautés de communes comme Strasbourg, Nice ou Bordeaux ciblent des projets plus modestes.
Proportion d’habitants vivant en villeen 2013 : 50%Prévision pour 2050 : 70% |
Si ces projets sont loin d’être une évidence – ils passent par des remises en cause des organisations en place -, ils sont aussi riche de promesses. Tant pour l’administration, qui trouve là un levier de réduction des coûts, que pour les élus, qui y voient des projets médiatiques susceptibles d’incarner leur passage aux affaires. Et de leur valoir les votes d’une population jeune et fortement connectée. Le tout alors que les retours d’expérience, permettant de baliser le terrain, se multiplient comme le détaille notre dossier.
Dossier réalisé par Serge Escalé
Crédit photo : Natchapon L. / Shutterstock
Les logiciels de GFI, les datacenters d’Orange Business Services. Les deux sociétés déclinent leur alliance globale pour les collectivités, en lançant trois offres Cloud complémentaires. Pour les agents publics, les élus et les citoyens.
Créé en juillet 2003, Axione s’est imposé sur le marché des réseaux d’initiative publique. Et revendique la création de plus de 6000 emplois.
Numericable s’inscrit comme le premier opérateur national à s’appuyer sur un réseau d’initiative publique pour déployer son offre très haut débit.
L’adhésion de Numericable permettra aux industriels des réseaux d’initiative publique de peser de tout leur poids auprès des pouvoirs publics dans le déploiement du très haut débit.
En rendant fonctionnelle sa box sur les réseaux des collectivités locales, Numericable s’ouvre le marché des 15 millions de foyers non raccordés à son réseau optique.
En attendant la fibre optique, Altitude Infrastructure lance des montées en débit sur ses réseaux radio Wimax et évite ainsi aux zones grises de devenir des zones blanches.
Alors que le nombre de prises optiques nouvellement déployées baisse de mois en mois, l’Avicca propose de se tourner vers le mobile pour financer le très haut débit fixe.
Après un an de développement, le régulateur met à disposition des collectivités et opérateurs un outil de simulation des coûts des réseaux optiques en zone moyennement et peu dense. De quoi accélérer les déploiements FTTH ?
L’Avicca s’inquiète des propositions du récent rapport du Centre d’analyse stratégique, qui estime qu’on ne peut aller plus vite en matière de déploiement de la fibre. L’association redoute même un ralentissement de ce déploiement.
France Télécom-Orange démarre un chantier de huit ans pour apporter la fibre optique aux foyers et entreprises de Mulhouse. 32 communes sont concernées.
Le représentant des villes et collectivités en matière de technologies numériques se réjouit que le Parlement envisage la montée des débits en France comme un intérêt général.
Selon Ruckus Wireless, une majorité de maires préfèrent déployer un Internet wifi gratuit qu’un réseau de vidéo-protection à leurs administrés. La fracture numérique a la vie longue.
L’entreprise espagnole Gowex propose aux collectivités locales de mettre sur pied et gérer un réseau wifi rentable pour elles. Publicité géolocalisée, roaming, service premium… les sources de revenus sont multiples.
Selon l’Arcep, le déploiement du très haut débit coûtera 21 milliards d’euros en France. Le double selon les opérateurs qui délaisseront aux collectivités les zones peu denses.
Le salon Odébit, ces 20 et 21 septembre, a montré le décalage persistant entre administrations centrales et collectivités en région à propos du très haut débit
Les 20 et 21 septembre 2011, au CNIT Paris La Défense, se tient le salon de « toutes les solutions et applications du haut et très haut débit pour les collectivités territoriales et les entreprises »