La Fédération française des télécoms constate que les investissements des opérateurs ne cessent de progresser alors que les revenus baissent.

La Fédération française des télécoms constate que les investissements des opérateurs ne cessent de progresser alors que les revenus baissent.
A travers la Fédération Française des Télécoms, les opérateurs estiment avoir atteint leurs objectifs de couverture des zones blanches. Plus de 500 communes restent toutefois encore à couvrir.
Moins d'impôts, plus de stabilité juridique, un traitement d'égalité avec les OTT… Les opérateurs font part de leurs doléances aux candidat à l'élection présidentielle.
Selon la Fédération française des télécoms, les opérateurs ont couvert en Internet mobile plus de 1000 communes du programme zones blanches en 2016. Dont plus de 400 en montagne.
L'Assemblée s'apprête à instaurer une augmentation de la taxe que les opérateurs versent pour financer France Télévisions. Une de plus.
Sans mesures favorables aux opérateurs, la Fédération française des télécoms craint une régression de la France, et même de l'Europe, dans le secteur numérique.
A l'heure où l'Europe referme ses frontières, Silicon.fr ouvre ses télégrammes comme tous les soirs. Drones, taxes box, IoT et iPhone 6s au menu.
Un temps menacée de disparition, la Fédération Française des Télécoms continuera ses efforts de lobbying en faveur des opérateurs télécoms. Un nouvel exécutif est mis en place avec Bouygues Telecom aux commandes et SFR-Numericable à la ...
Adoptée à l'Assemblée, la loi encadrant les dispositions pour limiter l'exposition aux champs électromagnétiques inquiète les opérateurs mobiles.
La défection de Numericable-SFR, qui entrainerait le départ de Bouygues Telecom, pourrait mettre un terme à l'action du lobby des télécoms en France.
La FFTélécoms, rapport d'Arthur D. Little à l'appui, constate l'exclusion de l'Europe sur l'économie numérique mondiale. Et propose son plan de redressement.
En rejoignant l'OIP, la Fédération française des télécom apporte un soutien de poids dans la volonté de ne pas laisser l'Internet européen aux mains des acteurs américains.