Le Privacy Shield « fonctionne », mais « reste à améliorer » pour protéger dans la durée les données transférées aux États-Unis, selon la Commission européenne.

Le Privacy Shield « fonctionne », mais « reste à améliorer » pour protéger dans la durée les données transférées aux États-Unis, selon la Commission européenne.
Pour le Conseil national du numérique, le Privacy Shield doit être « renégocié » car l’accord n’offre pas de garanties suffisantes à la protection des données.
Un collectif de personnalités et de sociétés françaises milite pour une clarification des règles du règlement GDPR en matière de portabilité des données. Et veut imposer l’ouverture d’API sur les services en ligne.
Les CNIL européennes ne sont pas convaincues par les changements apportés par Microsoft dans Windows 10 afin de garantir une meilleure protection des données personnelles des utilisateurs.
Les CNIL européennes s’inquiètent du récent décret sur l’immigration du Président Trump. Elles veulent s’assurer que le Privacy Shield n’en souffrira pas.
Donald Trump a signé un décret où la protection des données n’est pas accordée aux citoyens non-américains. Coup de canif au Privacy Shield ? La Commission européenne temporise.
Les entreprises s’interrogent sur la responsabilité du délégué à la protection des données (DPO) et le droit à la portabilité des données, que prévoit le nouveau cadre légal européen.
Un recours a été déposé par Digital Rights Ireland pour obtenir l’annulation du feu vert européen au Privacy Shield, le nouvel accord qui encadre le transfert de données de l’UE vers les États-Unis. En France, 3 associations ont également saisi la justice européenne.
Le G29 rassemblant les CNIL européennes haussent le ton sur le partage de données entre Facebook et sa filiale WhatsApp.
Les associations regroupant les DSI de grandes organisations, les auditeurs et les éditeurs de logiciels créent un groupe de travail commun pour réfléchir aux conséquences du règlement européen sur les données personnelles.
Déjà lassé de la rentrée politique ? Délassez-vous avec nos télégrammes du soir.
Encourager, voire rendre obligatoire le chiffrement des communications électroniques, c’est l’avis du contrôleur européen de la protection des données.
Les CNIL européennes ne sont pas satisfaites du Privacy Shield, mais prennent date en 2017 pour s’inviter dans la révision de l’accord.
A l’occasion du Cloud Independance Day, le Privacy Shield a cristallisé les débats. Les industriels appellent à plus de stabilité et de visibilité réglementaire. Max Schrems, pourfendeur du Safe Harbor, affute ses arguments pour invalider le Privacy Shield
Les sénateurs votent un amendement au projet de loi Lemaire prévoyant d’imposer le stockage dans l’Union européenne des données personnelles des Français. Les grands acteurs du Cloud y sont, de toute façon, déjà prêts.
La nouvelle directive renforce le contrôle des citoyens européens sur leurs données personnelles. Au prix de nouvelles contraintes pour les entreprises.
Accès aux données transférées aux États-Unis, voies de recours, médiation… sont autant de « sujets d’inquiétude » pour le G29, groupe des CNIL européennes. L’industrie s’impatiente.
Alors qu’Intel vient de présenter sa première collection de robes connectées, Silicon.fr vous offre son défilé de télégrammes du soir.
Le débat FBI-Apple sur le déverrouillage d’un iPhone pourrait avoir un impact sur l’accord Privacy Shield passé entre les Etats-Unis et l’Europe en remplacement du Safe Harbor.
Les États-Unis se disent prêts à limiter la collecte en vrac de données de citoyens européens dans le cadre du « Privacy Shield ». Cet accord post-Safe Harbor est actuellement examiné par les CNIL européennes (G29).
Google va bloquer l’affichage de liens au nom du « droit à l’oubli » sur toutes les versions de son moteur de recherche. La mesure s’appliquera, en théorie, à tous les internautes d’Europe.
Le groupe des CNIL européennes veut examiner les garanties du « bouclier de confidentialité » post-Safe Harbor sur les transferts de données vers les États-Unis. Verdict au printemps.
La CNIL va engager une procédure formelle de sanction à l’encontre de Google, qui n’a pas mis ses règles de confidentialité en conformité avec la loi française. En quatre questions, Silicon revient sur le différend entre l’autorité et le géant de la recherche.
Le groupe des CNIL européennes veut évaluer l’impact du programme de surveillance américain PRISM et obtenir de Bruxelles des clarifications.