La valeur des contrats d’externalisation informatique a progressé de 10% à 17,1 milliards d’euros en 2019 dans la région EMEA, selon l’ISG Index.

La valeur des contrats d’externalisation informatique a progressé de 10% à 17,1 milliards d’euros en 2019 dans la région EMEA, selon l’ISG Index.
Les trois quarts des responsables IT interrogés s’attendent à ce que leur entreprise adopte complètement l’informatique « en tant que service » d’ici 2024.
Les ressources cloud non exploitées et le sur-dimensionnement coûteraient plus de 14 milliards de dollars aux entreprises en 2019, selon ParkMyCloud.
Cinq fournisseurs – AWS, Microsoft, Alibaba, Google, IBM – ont représenté 77% du marché infrastructures en tant que service (IaaS) du cloud public en 2018.
Rencontres du Cloud – En France, six prestataires du cloud computing sur dix s’attendent à une forte progression des carnets de commandes d’ici la fin 2019.
Les contrats d’infrastructure en tant que service (IaaS) ont bondi de 33% et dépassé le milliard d’euros dans la région EMEA au T1 2019, relève ISG.
D’ici 2022, les services de cloud public devraient croître « près de trois fois » plus vite que l’ensemble du marché des services IT, selon Gartner.
Le fournisseur IaaS 3W Infra lance «Bring-Your-Own-Drive», une formule de location de serveurs sans unités de stockage. C’est au client d’envoyer les disques durs qui répondent à ses besoins.
Selon le dernier rapport de Synergy Research Group, l’écosystème a progressé de 32% en 2018. Neuf acteurs clés, dont Microsoft, Amazon/AWS, Dell EMC et IBM ont tiré leur épingle du jeu.
Selon IDC, les ventes de solutions d’infrastructure du cloud public ont plus que doublé ces trois dernières années pour franchir les 10 milliards de dollars au second trimestre 2018.
La demande des entreprises pour du cloud public s’oriente vers des services intégrés IaaS et PaaS. Une aubaine pour AWS, Microsoft, Alibaba et consorts.
Quatre groupes – AWS, Microsoft, Alibaba et Google – représentent 73% du marché mondial des infrastructures en tant que service (IaaS) du cloud public, selon Gartner.
La transformation numérique, sujet brulant s’il en est, ne peut réussir que si la rapidité de développement des applications est assurée. La vitesse de leur déploiement peut être par ailleurs un facteur de différenciation déterminant qui génère un avantage concurrentiel pour les entreprises – avantage grâce auquel l’informatique devient un centre de profit, et non plus un centre de coût.
Si vous êtes comme moi, le modèle « Infrastructure-as-a-Service » (IaaS) vous fait immanquablement penser à Amazon Web Services (AWS), Microsoft Azure ou Google Cloud Platform (GCP). Il y a encore quelques années, vous auriez été dans le vrai. Seulement voilà, Kubernetes incarne aujourd’hui le modèle IaaS de nouvelle génération, mais pas forcément pour les raisons auxquelles vous pensez. Je m’explique.
Dans la région EMEA, les prestations « as-a-service » ne compensent pas la baisse des contrats d’outsourcing traditionnel constatée par l’ISG Index.
6 entreprises sur 10 migrent données et systèmes dans le Cloud sans évaluer pleinement le coût d’une interruption de service, selon Veritas.
Dans l’univers du Cloud en 2019, le marché du IaaS et du PaaS devrait égaler celui du SaaS, selon le cabinet Markess. Le volet juridique, dont le GDPR, reste le principal frein.
Nouvelle chronique de Louis Naugès, notre expert cloud sur Silicon.fr :l’évolution du marché IaaS avec l’Europe qui rate le coche.
Porté par l’infrastructure et le logiciel en tant que service, le marché mondial du Cloud public devrait finalement croître de 18,5% en 2017, rapporte Gartner.
Si l’IaaS permet de se libérer de la gestion des machines physiques, le PaaS permet d’aller au-delà et de s’affranchir de la gestion des instances. Les DSI y voient de plus en plus un moyen de gagner en agilité et en efficacité.
Grâce à Azure, Office 365 et Dynamics 365, c’est bien Microsoft et non Amazon Web Services (AWS) qui domine le marché mondial du Cloud, selon la société d’études TBR.
Gartner voit une accélération des revenus issus des services Cloud. En 2016, ils devraient atteindre plus de 200 milliards de dollars.
Selon une étude, les charges de travail au sein des entreprises tournent de plus en plus sur le Cloud. Elles devraient être 60% en 2018.
Côté fournisseur, le Cloud mutualise les coûts. Côté client, il facilite profondément l’accès aux applications et à toutes les ressources informatiques. Les PME peuvent désormais accéder aux mêmes outils que les grands groupes.
Pour se concentrer sur leur cœur de métier et accéder rapidement à des solutions adaptées, les PME se tournent de plus en plus vers des offres Cloud. Cloud public, privé, comment choisir son prestataire? Quels critères prendre en compte dans son contrat?
A-t-on raison de craindre le Cloud ? Les concepts de l’informatique dans le nuage sont souvent méconnus, ce qui vaut à cette approche d’être parfois rejetée en bloc par les décideurs, métiers comme informatiques. Et pourtant, il n’y a pas de quoi s’alarmer. Du moins pas plus qu’avec des infrastructures informatiques traditionnelles. Idée fausse numéro
Lors de la première journée de l’événement informatique le plus couru au monde, Larry Ellison a enfoncé le clou : objectif Cloud, sur lequel Oracle affirme être leader. Démonstration, et pluie d’annonces tous azimuts, à l’appui.
Sous la pression des métiers, les DSI ont un rôle de conseil en services Cloud à jouer pour assurer l’urbanisation du système d’information de leur entreprise, selon le Cigref.
Windows Server 2008 R2 et Windows Server 2012 R2 sont maintenant officiellement supportés par le service IaaS de Google, Compute Engine.
Star des années 2000, le middleware est aujourd’hui largement menacé par l’Open Source et par le Cloud, explique Guillaume Plouin, architecte Cloud et auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet. Au point d’être tout bonnement condamné ?