Coq, Scikit-learn, Pharo… Inria Academy propose dès maintenant des formations centrées sur des logiciels libres et open source « créateurs de valeur ».

Coq, Scikit-learn, Pharo… Inria Academy propose dès maintenant des formations centrées sur des logiciels libres et open source « créateurs de valeur ».
Bpifrance et Inria ont signé un accord pour soutenir l’émergence de jeunes pousses numériques formées dans la deeptech (IA, IoT, Cybersécurité…).
De la cryptographie post-quantique à l’Internet des objets, Inria, l’institut national de recherche en sciences du numérique, livre ses recommandations à l’occasion du Forum International de la Cybersécurité (FIC) 2019.
Après 12 ans d’existence, le partenariat entre Microsoft et l’institut français de recherche en sciences du numérique est renouvelé pour quatre ans.
Lors de son World Tour, Fujitsu est revenu sur son partenariat avec Polytechnique et l’Inria autour de l’IA. Un domaine où les atouts de la France ont séduit le Japonais.
Si on se fie au marketing des constructeurs, les voitures autonomes seront demain chez nos concessionnaires. Pure fiction, selon un spécialiste de l’Inria, qui pointe les limites techniques actuelles en matière de détection de l’environnement et d’IA.
WannaCry ? Un ransomware de facture classique, dont le comportement traduit la nature, selon Jean-Louis Lanet, chercheur spécialisé dans l’étude des virus. Qui redoute par contre l’arrivée de malwares de chiffrement bien plus pernicieux…
L’IA s’invite de plus en plus au sein des entreprises. Fiabilité, compétences, droit à l’erreur, conduite au changement, sont autant de sujets à prendre en considération.
A l’heure où l’Europe se penche sur une législation encadrant le chiffrement, où Emmanuel Macron prend publiquement position sur le sujet, Steve Kremer, directeur de recherche à l’Inria, rappelle combien tout affaiblissement du chiffrement est risqué. Et contre-productif.
Que vous préfériez les Velib’ ou les futurs vélos en libre service de Smooze, passez le grand plateau pour lire nos télégrammes du soir.
Le Japonais s’associe à Polytechnique et l’Inria pour accélérer sa recherche en IA. Et affiche ses intentions de prendre des participations dans des start-ups françaises.
L’institut de recherche fête ses 50 ans en mettant en avant son ratio de succès dans l’obtention des subventions européennes. Une manne substantielle qui permet aux chercheurs de travailler avec une certaine sérénité.
A l’heure où l’intelligence artificielle prend de l’ampleur, se pose la question du sexisme de ce phénomène. Le débat est loin d’être tranché.
Le gouvernement veut encourager la conception d’algorithmes « responsables et transparents par construction ». Une plateforme d’évaluation, TransAlgo, devrait voir le jour pour faciliter leur évaluation.
Yahoo, un des grands noms de l’Internet, utilisait, lorsqu’il s’est fait dérober les données relatives à plus d’un milliard de comptes, un algorithme de chiffrement totalement dépassé, MD5. Choquant, pour certains experts. Même si le portail n’est pas forcément un cas isolé.
Aux États-Unis, l’université Carnegie Mellon ouvre un centre de recherche dédié à l’éthique de l’intelligence artificielle. En France, CNRS, Inria et Cigref se sont emparés de la problématique.
Des clés de chiffrement de 1024 bits utilisées pour sécuriser les sites Web, les VPN et les serveurs Internet peuvent inclure des « trappes » indétectables, selon des chercheurs.
La Commission signe un partenariat public-privé avec l’industrie européenne et veut également mettre en place une certification unique des solutions de cybersécurité à l’échelle du continent.
Après dix-huit mois de travaux, l’Inria ouvre aux contributions tierces Software Heritage, son projet de bibliothèque universelle des codes sources de logiciels publiquement disponibles. Microsoft, Github, la Fondation Linux, la FSF et d’autres, le soutiennent d’ores et déjà.
Données massives, Internet des objets et supercalculateurs sont au coeur du rapport Technologies clés 2020. C’est un guide opérationnel pour la nouvelle France industrielle, selon Bercy.
Une nouvelle fois, les chercheurs de l’Inria mettent au jour des failles dans les principaux protocoles de sécurité d’Internet. En cause : une certaine paresse à éliminer MD5, un algorithme utilisé dans le chiffrement.
L’Inria et Microsoft versent sur GitHub le code de leur implémentation de référence de TLS, MiTLS. Un projet au long cours qui a permis, au passage, de découvrir des failles comme LogJam et Freak.
Un effort équivalent au déchiffrement d’Enigma pendant la seconde guerre mondiale ? C’est en tout cas l’hypothèse de chercheurs, qui expliquent que la NSA pourrait avoir cassé un algorithme clef du chiffrement. Afin de décoder à la volée des milliards de communications qu’on pensait sécurisées.
Un des algorithmes centraux utilisés pour le chiffrement sur Internet, SHA-1, n’est plus suffisamment sécurisé contre des attaques par force brute, estiment des chercheurs. Conséquence possible : la création de faux certificats mettant en péril nombre de connexions sécurisées.
En attendant de savoir si la Grèce va sortir de l’euro et si le thermomètre va dépasser les 40° dans la rédaction de Silicon.fr, l’actu continue, notamment du côté des télégrammes du soir.
Un des chercheurs à l’origine de la découverte de la faille LogJam, logée dans les systèmes de chiffrement, détaille les implications de ses travaux. Où il apparaît clairement que les clefs de moins de 768 bits sont aisément à portée de calculs d’un Etat. Et que même le 1024 bits ne semble plus inaccessible à la NSA.
Dans une note, l’Inria attire l’attention des élus sur les limites du dispositif de boîtes noires qu’instaure le projet de loi sur le renseignement. Un dispositif avant tout inefficace, selon l’institut de recherche.
A la tête de Quantic, une équipe commune à 5 écoles ou instituts de recherche, Mazyar Mirrahimi dresse un panorama de l’avancée de la recherche en informatique quantique. Si les percées récentes sont significatives, rien ne permet aujourd’hui d’assurer que l’ordinateur quantique universel est proche de voir le jour.
A la tribune du salon Big Data Paris, la secrétaire d’Etat au Numérique Axelle Lemaire a exhorté les entreprises à amener la France à la pointe du Big Data. Mais, si le pays dispose d’atouts, la majorité des données de ses citoyens est aujourd’hui… aux Etats-Unis.
Pour sa deuxième vague de tests sur la collecte des données personnelles par les smartphones, l’Inria et la CNIL se sont focalisés sur l’OS mobile de Google après celui d’Apple. Deux tendances ressurgissent : l’intensité d’accès à la géolocalisation et la course des apps aux identifiants.