La NASA va utiliser un nouveau supercalculateur basé sur le système de calcul haute performance HPE SGI 8600, dans le cadre du programme Artemis.

La NASA va utiliser un nouveau supercalculateur basé sur le système de calcul haute performance HPE SGI 8600, dans le cadre du programme Artemis.
Le Summit d’IBM pour l’ONRL l’emporte. La Chine n’héberge donc plus le supercalculateur le plus puissant du monde. Mais elle a davantage de machines classées.
Le nouveau superordinateur HPE acquis par le fournisseur d’énergie Eni va porter sa capacité globale de calcul à 22,4 Petaflops.
Fruit d’une collaboration Lenovo – Intel, le SuperMUC-NG offrira une puissance de calcul de 26,7 pétaflops pour répondre aux besoins du Leibniz Supercomputing Center.
IBM et Nvidia associent leurs forces pour bâtir Summit, un futur supercalculateur annoncé comme le plus puissant au monde.
Les télégrammes du soir se joignent au cri d’alarme des 15 000 scientifiques sur l’état alarmant de la planète.
La carte AMD Radeon Instinct MI25 propose une capacité de calcul en demi-précision de 24,6 téraflops. Inventec l’utilise dans une solution 39U de 3 pétaflops.
Le Français Atos fait de la technologie ARM son cheval de bataille pour bâtir le supercalculateur exaflopique européen. Et dévoile sa première machine à base de puces Cavium.
Dominés par deux supercalculateurs chinois et un système suisse vitaminé aux GPU, les États-Unis conservent toutefois 169 machines au sein du Top 500 mondial. Contre 17 pour la France.
Contrairement à Ibrahimovic, l’heure de la retraite n’a pas encore sonné pour les télégrammes du soir.
Malgré l’embargo américain, la Chine fait clairement la course en tête dans les supercalculateurs. La superpuissance asiatique vient de dévoiler le premier système dépassant les 100 pétaflops.
Deux fois plus puissant que son prédécesseur, le Stampede 2 utilisera des Xeon et Xeon Phi de nouvelle génération, ainsi que de la mémoire 3D XPoint. Une première.
Les Etats-Unis peuvent-ils perdre leur leadership dans le calcul hautes performances (HPC) ? Un rapport s’inquiète de la montée en puissance de la Chine. L’Europe apparaît décrochée face aux deux superpuissances.
50 supercalculateurs pétaflopiques sont maintenant présents dans le Top500, dont 19 aux États-Unis et autant en Europe.
Avec le cluster Occigen, signé Bull, la France disposera de plus de 5 pétaflops de puissance de calcul dans ses centres académiques. Une belle montée, mais insuffisante pour se mettre au niveau de l’Allemagne ou du Royaume-uni.
Multiplier par 20 la puissance de calcul actuelle du premier superordinateur classé au Top 500, tel est l’objectif de plusieurs pays ou continents. A ce petit jeu, l’Europe parie sur la frugalité énergétique de l’architecture ARM.
La nouvelle machine du DKRZ sera créditée d’une puissance de calcul de 3 pétaflops et disposera d’un imposant système de stockage de 45 pétaoctets. Un cluster signé Bull.
Il aura été le premier à franchir la barre du pétaflops. Le super-ordinateur Roadrunner, rongé par l’obsolescence après 5 années de vie, est condamné a être démantelé.
Avec le cluster Pangea, Total dispose d’une puissance de calcul de 2,3 pétaflops. Cette machine surpuissante, qui facilitera les travaux de prospection de pétrole et de gaz, a été assemblée par SGI.
Un supercalculateur américain, le Titan, occupe maintenant la première place du classement des supercalculateurs. Avec une puissance de 17,6 pétaflops, il devance le Sequoia (États-Unis) et le K Computer (Japon).
Un des plus puissants supercalculateurs de la planète vient d’être mis en fonction. Le Titan affiche 20 pétaflops et combine des GPU NVIDIA à des processeurs AMD, le tout dans des baies Cray XK7.
SGI a été choisi pour construire le futur supercalculateur de Total. Crédité d’une puissance de calcul de 2,3 pétaflops, ce sera le cluster privé le plus puissant de la planète.
T-Platforms est chargé de créer un cluster d’une puissance de 10 pétaflops pour l’Université d’État M.V. Lomonosov de Moscou. Le démarrage de cette machine est prévu pour fin 2013.
Le Tsubame 2.0 s’est surpassé, en atteignant une puissance de calcul effective de 2 pétaflops. C’est près de deux fois plus que sa puissance nominale en double précision.
Conçue autour d’un processeur maison très original, la gamme de supercalculateurs Blue Gene/Q d’IBM permettra de construire des clusters d’une puissance maximale de 100 pétaflops.
Ce devait être le plus puissant super calculateur au monde. Il n’en sera rien. Du moins, pas dans l’immédiat. IBM et le NCSA (National Center for Supercomputing Applications) ont annoncé, le 6 août dans un communiqué commun, que le projet Blue Waters était abandonné. « IBM a dénoncé son contrat avec l’Université de l’Illinois pour fournir
Le K Computer japonais, une machine pourvue de processeurs SPARC64, devient l’ordinateur le plus rapide au monde, avec une puissance de calcul maximale de 8,16 pétaflops.
Le Lomonosov nouveau est arrivé. Ce supercalculateur hybride est crédité d’une puissance de calcul culminant à 1,3 pétaflops.
Cray allie des processeurs AMD Opteron et des GPU NVIDIA au sein de son nouveau XK6, une machine dont la puissance de calcul pourra dépasser les 50 pétaflops.
Bull va fournir un troisième supercalculateur pétaflopique. Il sera dédié à l’étude des plasmas et des matériaux dans le cadre de la fusion contrôlée.